Les Vidéos de la Chaine Voyages

mercredi 30 avril 2008

Charte Réunion qualité Tourisme

Les nouveaux promus

Catégorie boutiques artisanales
* Madame Marie-France MICHEL
LE ZARTS D’ICI
Place du Marché Couvert à SAINT-PIERRE
* Madame Isabelle BITON
DEKOCEAN
41 Rue Joseph Suacot à PETITE ILE

Catégorie loisirs sportifs
* Monsieur Pascal COLAS
Pour son activité ESCALADE
à SAINT-GILLES-LES-HAUTS
* Monsieur Roby SORIANO
Pour son activité de Randonnée Pédestre
14, rue Saint-Louis à CILAOS
* Monsieur Eric BOURDEU
BOURBON PARAPENTE CONCEPT
4 rue Haute à SAINT-LEU

Catégorie hébergement / restauration
* Madame Fabienne SORIANO
HOTEL LES ALOES**
14, rue Saint-Louis à CILAOS
* Nadine et Philippe SCHWARTZ
DIMITILE HOTEL ***
30 Rue Bras Long à l’ENTRE-DEUX
* Monsieur Fabrice MANSON
Directeur
PALM HOTEL & SPA ****
Grand Anse à PETITE ILE

Catégorie survol de l’île
* Monsieur Fabrice LOURME
CORAIL HELICOPTERE
Pierrefonds - SAINT-PIERRE

mardi 29 avril 2008

Accentuer l’effort quantitatif et qualitatif


Après une année terrible, en 2006, avec la chute de fréquentation due à l’épidémie de chikungunya, les chiffres 2007 traduisent une « nette amélioration ». C’est ce qu’observe l’INSEE dans sa note d’information d’avril, dans le cadre de deux enquêtes conduites pour l’IRT, analysant d’une part les flux touristiques et d’autre part les motivations, les modes d’hébergement et les dépenses des visiteurs. Pour l’IRT, en phase de restructuration et de redynamisation/professionnalisation des activités touristiques, l’enjeu est à la fois qualitatif et quantitatif.
380.547 visiteurs se sont rendus à La Réunion en 2007, sur des motivations diverses. C’est encore loin du nombre record atteint en 2000 (plus de 430.000 touristes) mais, avec plus de 101.700 visiteurs de plus qu’en 2006 (+ 36,5%) c’est le signe d’une nette reprise, qui a motivé l’IRT à mener deux enquêtes avec le concours de l’INSEE, pour mieux cerner sur quoi faire porter les efforts.
Les motivations des voyageurs sont affinitaires pour un peu plus de 48% d’entre eux, tandis que près de 33% - un touriste sur trois - vient pour un voyage d’agrément (en augmentation de 55% par rapport à 2006), près de 14% est en voyage d’affaire ou pour raison professionnelle et 5% suit des motivations diverses, n’entrant dans aucune des trois catégories précédentes. Avant la crise du chikungunya, les touristes d’agrément - qui participent le plus au financement de l’économie locale - constituaient environ la moitié du nombre total de touristes. Pour l’heure, c’est le “tourisme affinitaire” qui constitue le plus gros des contingents et retrouve son niveau de 2005 : pratiquement 1 touriste (2007) sur 2 a de la famille ou des amis à La Réunion.
EN termes de dépenses, les plus de 380.000 touristes venus en 2007 ont dépensé globalement près de 293 millions d’euros, soit une moyenne de 770 euros par visiteurs, pour une durée moyenne de séjour de 16 jours. 44% de ces dépenses va à l’hébergement et à la restauration, 16% à la location de voiture, 15% aux cadeaux et souvenirs, 12% va aux loisirs et excursions, 13% à d’autres postes de dépenses.
Au total, avec les dépenses d’avant séjour, les recettes extérieures se sont élevées à 325,9 millions d’euros en 2007 (+32,6% par rapport à 2006), confirmant la place de 1er produit de La Réunion, dans un contexte régional de croissance. Cette croissance de la fréquentation touristique est au rendez-vous à des degrés divers dans les pays de la zone et La Réunion y reste la 2e destination après Maurice, et avant les Seychelles (+ 14,7%) et Madagascar (+10%). Mais sur l’ensemble des 898 millions de touristes internationaux, 6% seulement retiennent la destination de l’Océan Indien. Il y a de gros efforts à faire, partout, et de préférence ensemble, si nous voulons voir changer ces chiffres.
Avec la nécessité d’augmenter quantitativement la capacité hôtelière, un aspect de la réflexion menée par l’IRT concerne l’amélioration de la qualité des prestations. Nous avons d’importants retards dans la professionnalisation linguistique des acteurs du tourisme. D’autre part, la recherche d’un label “qualité tourisme” peut permettre de faire progresser des pans entiers de structures déjà existantes. Avec “l’Observatoire du Tourisme” et son travail suivi, auprès des professionnels, sur les exigences de qualité, l’IRT n’exclut pas l’éventualité de contrôles inopinés, par des conseils extérieurs qui donneront leur appréciation sur la qualité des structures. Enfin, pour l’amélioration de la qualité, avec la quantité, l’IRT envisage de mobiliser « des objectifs d’excellence » tels ceux retenus aussi par la LoPOM.

Les hôtels se différencient pour contrer la concurrence


Plage, relaxation ultime, golf, spa, mariage, lune de miel, ou encore plongée. Les offres se font de plus en plus compétitives afin d’attirer la clientèle. Les hôtels, des deux-étoiles aux cinq-étoiles plus, chacun tisse son réseau et développe ses services et forfaits afin de se distinguer des autres et contrer leur concurrence. Les prestations se font plus luxueuses et le service encore plus pointu.

La première étape de la séduction se fait hors de nos côtes. La représentation et la communication jouent aussi un rôle clé dans cette différence recherchée. «C’est vrai que tout le monde vient à Maurice par rapport à la destination elle-même dans un premier temps. Mais c’est en termes de communication envers la clientèle que l’on fait la différence», explique Clyde Vacher, directeur de communication de Sun Resorts. «Ce sont les bureaux commerciaux et nos partenaires qui vendent nos hôtels, et nous avons avec eux des relations de longue durée. Le client qui souhaite venir à Maurice va s’appuyer sur les professionnels de l’industrie dans son pays d’origine.»

La participation aux Salons professionnels assure aussi un lien relationnel avec les partenaires à l’étranger.
«C’est aussi la réputation qui différencie les hôtels», estime Clyde Vacher, qui fait ressortir qu’avec ses 27 ans d’existence, Sun Resorts s’est fait un nom.Tel est le cas du Four Seasons, qui s’ouvre en juillet prochain à Anahita. «Le nom Four Seasons nous différencie. Il est synonyme de service de qualité et d’hôtel de luxe. Et puis, nous avons des infrastructures chez nous sur lesquelles nous misons pour attirer les gens, telles que notre spa sur pilotis, qui sera le premier de ce genre à Maurice», explique Pauline Etienne, chargée de relations publiques au Four Seasons Resort, Mauritius.Travailler le détail est autre un élément que mettent en avant divers hôtels. C’est dans cette optique que le groupe Constance, par exemple, vient de lancer des services virtuels de conciergerie, disponibles sur les sites web de ses différents hôtels. La conciergerie en ligne sert, entre autres, à enregistrer les préférences des clients, comme pour le choix d’une baby-sitter, ou leurs contraintes, telles les allergies. Le client peut lui-même utiliser ces services, en dehors de l’agence de voyage.

Les préférences et habitudes des clients constituent un autre facteur sur lequel ont su miser de nombreux hôtels, notamment par rapport à la fidélisation de la clientèle. Au Legends, établissement cinq-étoiles du groupe Naïade, les habitudes des clients sont notées selon un système spécial mis en place. L’hôtel peut ainsi prendre les devants et proposer à son client, de manière proactive, les plats qui lui plaisent. Ce système permet de tenir compte des préférences du client lors de chacune de ses visites.

Les bouteilles d’eau à la plage, le cocktail à l’arrivée ou encore le chocolat sur l’oreiller chaque après-midi ne sont que quelques-unes des petites touches qu’apportent les hôteliers pour rendre un séjour mémorable et fidéliser sa clientèle. En effet la catégorie des clients qui reviennent (repeaters) est celle qui fait la fierté de plusieurs groupes.

Les niches sont aussi de plus en plus maximisées. Ainsi, au Legends, hôtel à vocation romantique, les forfaits «lune de miel» sont peaufinés. De la même manière, chaque hôtel joue sur son design et son concept afin de s’illustrer face à la concurrence. Si certains choisissent de miser sur le matériel, tel le bois ou la céramique, d’autres misent sur un design moderne ou coloré, ou encore sur des senteurs signature.

Le haut de gamme devient aussi une catégorie sur laquelle misent des groupes. Le Coco Beach de Sun resorts doit laisser la place à deux hôtels haut de gamme, dont un cinq-étoiles. Les travaux débuteront vers mi-2009, et l’ouverture de ces nouveaux établissements est prévue pour 2011. Le Sugar Beach, du même groupe et actuellement en rénovation, passera, à sa réouverture en août, à la catégorie cinq-étoiles.

lundi 28 avril 2008

Le top 50 des restos du monde


En gastronomie, les classements se succèdent et se ressemblent. Celui du magazine britannique Restaurant, annoncé hier à Londres, a pour lui deux singularités. En premier lieu, il entend juger - vaste programme! - les cuisines du monde entier; il fait par ailleurs chaque année beaucoup tousser et glousser dans ces mêmes cuisines.

Pas de surprise au palmarès puisque le trio gagnant est le même que ces trois dernières années: le Catalan Ferran Adrià (El Bullì), désigné meilleur chef du monde, précède le Britannique Heston Blumenthal (Fat Duck) et le Français Pierre Gagnaire. La tête de liste préfigure de même le reste du classement, privilégiant la cuisine censément expérimentale ou «déconstructiviste», spectaculaire. Une liste où dominent les chefs anglo-saxons (six Britanniques et sept Américains) et hispaniques (7), même si la France parvient péniblement à y conserver une dizaine de représentants.

Parmi les nouveautés de cette édition 2008, la plus renversante est l'irruption de Philippe Rochat, surgissant du néant au 27e rang. Gérard Rabaey apparaît lui aussi pour la première fois, à la 90e place. Pas plus ému que cela, le chef de l'Hôtel de Ville de Crissier est allé chercher son «oscar» hier soir à Londres, mais n'est pas resté pour le dîner: «Pas question de rater le service du lendemain...»

Ce classement est le fait de 682 votants, restaurateurs ou critiques gastronomiques, réunis au sein de 23 «panels régionaux»: chacun est appelé à voter pour cinq restaurants, dont au maximum deux dans sa région et à l'exclusion du sien. La Suisse se trouve ici rattachée au groupe de l'Autriche et du Liechtenstein, entre autres bizarreries. Parmi les jurés suisses, Gérard Rabaey, Didier de Courten et André Jaeger - ceci suffisant sans doute à expliquer cela. Autre nouveauté, les jurés étaient appelés à élire en outre leurs cinq tables favorites dans leur région de domicile. Le Domaine de Châteauvieux de Philippe Chevrier obtient ici sa médaille de consolation, devançant le Fischerzunft d'André Jaeger, à Schaffhouse.

On pourra à l'infini s'interroger sur la pertinence de tels classements. Sur l'absence de l'Asie, en dépit d'un réservoir de formidables tables, les airs anglo-saxons et furieusement moléculaires du vote, la hiérarchie chahutée qui met au même plan brasseries chics - l'Atelier de Robuchon - et fleurons de la gastronomie ou encore sur le rôle des sponsors, extrêmement présents dans cette opération. Alors, tout et son contraire? Gérard Rabaey en sourit, lui qui ne se cache pas d'avoir voté pour son ami Philippe Rochat.
L'intégralité du classement sur http://www.theworlds50best.com

Tourisme médical : Sea, sun, sand and bistouri


Le tourisme médical est en plein boom à travers le monde et Maurice n’entend pas être en reste sur ce marché.
Et ce ne sont pas les touristes qui se vont se plaindre de ce nouveau genre de tourisme qui allie soins de santé et vacances au bord de la mer. Prenez l’exemple de la chirurgie esthétique. Celle-ci n’est pas couverte par la sécurité sociale en France et elle n’est donc pas remboursable. Alors, quoi de mieux que de se faire lifter le visage dans le cadre paradisiaque de Maurice et le tout pour une modique somme. « Depuis deux ans, nous avons investi dans la chirurgie esthétique : lifting du visage, augmentation de la taille des seins ou liposuccion. Nous faisons venir des chirurgiens spécialistes de l’île de la Réunion pour ces interventions. Le tout est moins coûteux à Maurice qu’à l’étranger », explique Fez Kasenally, directeur de la Clinique Medisave.
Par ailleurs, le tourisme médical à Maurice pourrait être un véritable succès, selon Nitin Pandea, assistant-directeur au Board of Investment (BOI), car « les coûts de santé dans les pays développés vont croissants et les listes d’attentes ne cessent de s’allonger. Le tourisme de santé représente un réel marché à exploiter.

Et Maurice dispose déjà de sérieux atouts dans le tourisme ».De plus, les statistiques parlent d’elles-mêmes. En 2005, 20 millions de personnes se sont déplacées pour aller se faire soigner à l’étranger. De 2010 à 2012, le tourisme médical pourrait représenter 4 % du marché global du tourisme, soit 40 milliards de dollars.

Et c’est dans le but de prendre une part de ce marché lucratif que le BOI poursuit ses efforts afin d’encourager les grands noms du secteur à s’implanter à Maurice.

samedi 26 avril 2008

Gilles Epié lance le premier livre de cuisine on line


Gilles Epié, le chef du Citrus Etoile, publie ces jours-ci un livre de cuisine pas comme les autres. Le chef, considéré par la revue Food and Wine comme "un des meilleurs chefs d'Amérique", a choisi de dévoiler les petits-secrets de ses recettes dans un livre publié en ligne sur un site Internet. Composé comme un véritable livre que l'on feuillete, de pages en pages, on y découvre les recettes qui ont fait le succès du chef, mais surtout des petites vidéos qui détaillent chaque recette. Coquilles Saint-Jacques, éclats de parmesan, Velouté de foie gras et d'huitres chaudes, Beignet de foie gras, caramélisé au Porto... Gilles Epié livre environ trente-cinq de ses recettes phares, avec, à chaque fois, la liste des ingrédients, le niveau de difficulté, le détail de la recette et un conseil d'accord met et vin.
Le chef n'a pas voulu passer par la voix traditionnelle de l'édition papier. Il considère qu'il n'y a "pas de secret [en cuisine], il y a uniquement de la technique", que "la création se donne" et offre ainsi gratuitement ses recettes et astuces en ligne. Alain Ducasse en personne a été séduit par le projet et a signé la préface de l'ouvrage.Le livre est à découvrir sur www.cuisineonline.tv
L'Internaute Magazine / Cécile Debisee

vendredi 25 avril 2008

Des senteurs et des images fortes pour relancer la destination Réunion


LA Réunion sera une fois de plus présente à la Foire de Paris, du 30 avril au 12 mai. Treize jours intenses où la délégation Réunion devra faire preuve d’originalité pour attirer l’attention des 700.000 visiteurs qui se déplacent chaque année pour l’une des plus grandes foires d’Europe. Une place de choix est d’ores et déjà assurée aux 19 exposants, entre les 2 principaux halls du Salon Terres de France et Terres des Tropiques.
Les 400 m2 de l’espace Réunion ne risquent donc pas d’être noyés dans les stands de la Martinique, de la Guadeloupe ou encore de la Guyane.
Les compagnies aériennes (Air Austral et Air France), les hôtels (Relais des Cimes, Tsilaosa, Océan Maloya, Le Floralys), Avis Réunion se sont associés pour mettre en jeu un séjour. Cerise sur le gâteau, Miss France devrait se joindre à l’équipe de l’IRT pour promouvoir notre île.

Edith Poulbassia

jeudi 24 avril 2008

SERVHOTELGROUP édite le Guide ASFORAD


SERVHOTELGROUP, entreprise Réunionnaise, dont la vocation est de porter assistance aux Entreprises Touristiques de l’île a créé ASFORAD ,un site Internet dédié à la Formation à Distance pour les Métiers de l’hôtellerie et de la Restauration.

La Petite et Moyenne Hôtellerie, la Restauration de proximité, les Agences Touristiques Locales ont, actuellement, des perspectives de développement mieux adaptées, aux attentes des Touristes visitant les régions Ultra Marine.
Etre à même d’appréhender et de comprendre l’ensemble des rouages, des cheminements et des besoins d’une entreprise de ce secteur, demande une réelle expérience en adéquation avec les exigences des différents acteurs économiques de cette industrie.

Ils ont très certainement, ces dernières années, évalués les besoins de leurs collaborateurs uniquement sur des » Formations Métiers », alors que les besoins existaient aussi sur celles concernant la Gestion des divers Départements, la Gestion des Collaborateurs, la Mise en place de Tableaux de Bords, l’Hygiène en Restauration, les textes de lois etc.

Aujourd’hui, l’émergence d’Agents de Maîtrise et de Cadres locaux oblige les professionnels de la formation à proposer de Nouveaux Programmes destinés à ces Publics, car ils ont tous, à leurs niveaux, des besoins de formations, d’informations et d’encadrement pour atteindre les différents objectifs de leurs projets professionnels.
L’objectif principal de ces formations que nous proposons aux Hôteliers et Restaurateurs est de leur permettre d’accroître les savoirs de leurs collaborateurs et de ce fait améliorer la qualité des prestations offertes à la Clientèle, tout en renforçant les connaissances d’administration et de gestion déjà acquises lors de Formations en présentiel.

Les modules de formations sont ciblés vers des individuels ou groupes de statut Agent de maîtrise ou Cadres, étant donné que des formations ouvertes et à distance sont difficilement applicables aux techniques de services ( Serveurs – Cuisiniers – Femmes de chambre etc.).
L’intérêt de cette catégorie de formations, pour des établissements Hôteliers et de Restauration sont indéniablement un facteur temps, et donc de coûts, puisque vos collaborateurs ne doivent plus s’absenter de leurs services et peuvent continuer à assurer ceux-ci, sans que vous ne soyez obligé à procéder à leur remplacement.

D’autre part, certains chefs de services ou de départements, souhaitent faire évoluer leurs salariés afin de pouvoir leur donner plus de responsabilités, mais il arrive parfois que des blocages dus à des manques de connaissances ne leur permettent pas d’accéder à cette ambition. Avec la Formation à Distance, ils pourront, après avoir préalablement définis les besoins spécifiques de leur collaborateur, suivre de manière permanente l’évolution de celui-ci.

Pour télécharger le GUIDE ASFORAD cliquez ici

mercredi 23 avril 2008

Aux arbres citoyens.......


Le groupe hôtelier français Accor a invité mardi ses clients à réutiliser leurs serviettes de bain afin de dégager des économies qui seront utilisées pour financer des projets de reforestation dans le monde
Accor s'est engagé à consacrer "50% des économies de blanchisserie générées par le comportement responsable des hôteliers et de leurs clients" à des projets de plantations d'arbres, dans le cadre d'une campagne menée par le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE).
Cette initiative devrait permettre à Accor de financer la plantation de trois millions d'arbres d'ici à fin 2012, pour un coût estimé entre 3 et 5 millions d'euros, selon les estimations du groupe.
"Les premiers tests dans nos hôtels ont montré que les clients et les équipes sont beaucoup plus motivés du moment où ils savent où va l'argent", a expliqué à l'AFP le directeur général d'Accor, Gilles Pélisson, en marge du sommet du Conseil mondial du voyage et du tourisme (WTTC) à Dubaï.
Jusqu'ici, "la majorité des hôteliers ont constaté que des initiatives de ce genre ne marchaient pas, parce que les clients ne voulaient pas leur faire de cadeau", a-t-il poursuivi.
Les 4.000 hôtels d'Accor dans le monde tenteront de responsabiliser leurs clients par le biais d'affichettes dans les salles de bain, sur le thème "ici vos serviettes plantent des arbres".

Soirée indienne au Créolia






SAMEDI 03 MAI 2008

19H30

Les Etudiants de Licence Professionnelle

« Arts Culinaires des Tables de l’Océan Indien »

Lycée Hôtelier de Plateau Caillou vous propose le temps d’une soirée, d’embarquer pour « La Route des Indes »

Buffet Gastronomique Indien
Spectacle de danse
Défilé de mode
en présence du Chef indien Rajiv GULSHAN Chef Executif international
HÔTEL “MERCURE CREOLIA”***Saint Denis
48 € Boissons comprises

Les bénéfices de la soirée seront reversés à l’association
« Les Villages de la Joie », en faveur des enfants de Madagascar.

Avec le partenariat de « Réunion Pélagique »

mardi 22 avril 2008

Augmentation exceptionnelle du Smic




Avec la récente accélération de l'inflation, le Smic va connaître une première revalorisation de 2,3 % au 1er mai.
À l'heure actuelle, le Smic est traditionnellement revalorisé le 1er juillet de chaque année en fonction de l'évolution de l'indice des prix à la consommation et de l'augmentation du pouvoir d'achat du salaire horaire de base ouvrier (SHBO).
En dehors de cette revalorisation traditionnelle, une revalorisation anticipée est toutefois prévue par le Code du travail dans l'hypothèse où l'indice des prix augmenterait d'au moins 2 % par rapport à l'indice ayant précédemment servi de référence pour fixer l'augmentation du Smic.

Et pour la première fois depuis 1996, l'indice des prix du mois de mars 2008 fait justement apparaître une hausse de 2,3 % par rapport à l'indice des prix du mois de mai 2007 (ce dernier indice ayant servi de référence à l'augmentation annuelle du Smic de juillet 2007). Le Smic va donc, à compter du 1er mai 2008, être augmenté dans les mêmes proportions.
En pratique : le Smic horaire devrait ainsi passer de 8,44 euros à 8,63 euros. Un arrêté interministériel doit toutefois confirmer le montant exact du nouveau Smic dans les prochains jours.
Le gouvernement devrait ensuite augmenter, de nouveau, le montant du Smic au 1er juillet en fonction notamment de la hausse des prix constatée entre les indices de mars et de mai 2008.

par Anne-Lise Barnel et Dominique Bougerol

Nouveau Code du travail : un logiciel pour vous aider

Le 1er mai prochain, le Code du travail change. Afin d'effectuer des correspondances entre les articles de l'ancien Code du travail et ceux du nouveau, un logiciel est mis à disposition par le ministère du travail.
Cliquez ici

Le saviez-vous ? Vous pouvez bénéficier d’un crédit d’impôt allant jusqu’à 1500 euros

Si vous avez moins de 26 ans et que vous avez travaillé au moins 6 mois consécutifs dans le secteur de l’hôtellerie-restauration entre le 1er juillet 2005 et le 31 décembre 2007. Cet allègement fiscal a été mis en place afin d’inciter les jeunes à s’orienter dans les secteur souffrant de pénurie de main d’œuvre et parmi lesquels figure l’hôtellerie restauration.

Les conditions pour profiter de ce crédit d’impôt sont les suivantes :
- Être âgés de moins de 26 ans à la date du début d'activité ;
- avoir débuté l'activité salariée entre le 1er juillet 2005 et le 31 décembre 2007 et l'exercer pour une durée minimum de 6 mois consécutifs ;
- percevoir pour cette période de 6 mois des salaires compris entre 2 970 euros et 12 060 euros ;
- appartenir à un foyer fiscal dont le revenu fiscal de référence n'excède pas 25 000 euros pour les personnes célibataires ou 50 000 euros pour les couples (mariés, pacsés). Ces plafonds sont augmentés en fonction des charges de famille.
Pour savoir comment faire la demande de crédit d’impôt et tout savoir sur les conditions pour en bénéficier, télécharger les document Cerfa suivant : cliquez ici.

Le Relais Mahana veut s'en sortir


A l'occasion du salon du Tourisme, du 17 au 19 avril à Papeete, Tahitipresse a fait le point avec une petite unité hôtelière de Huahine (Îles Sous-le-Vent), actuellement confrontée à un conflit social: le Relais Mahana. Avec de la bonne volonté et la médiation du gouvernement, des solutions pourraient être trouvées, estime le responsable de l'établissement.
S'il est relativement modeste, le Relais Mahana n'en offre pas moins des prestations de qualité (trois étoiles) mais surtout une atmosphère de convivialité que l'on ne trouve pas dans les hôtels des grandes chaînes. Malgré ses efforts, à l'instar de l'ensemble du parc hôtelier de Tahiti et ses îles, son hôtel est cependant loin d'afficher complet. La clientèle polynésienne sera donc la bienvenue. Encore faudrait-il que se résolve le conflit social auquel son établissement est confronté depuis plus de... cinquante jours. Un record en la matière.

Un plan social devenu nécessaire
"C'est un drame humain", convient Franck Guillot à propos des licenciements économiques. "J'ai proposé à l'ancien gouvernement, et j'espère que le prochain reprendra cette proposition, de tous se mettre autour d'une table pour le reclassement du personnel licencié. A travers des formations, des intégrations dans des entreprises, etc. On peut trouver des solutions. Au lieu de se faire la guerre et de se faire insulter, on ferait mieux de travailler ensemble pour régler ces problèmes humains graves", indique le responsable de cette unité hôtelière.

L'hôtel a été rénové pour un investissement de 332 millions de Fcfp (environ 2,8 millions d'euros). et a réouvert en avril 2007 après six mois de travaux.

lundi 21 avril 2008

Des Subventions évanescentes pour le Tourisme Réunionnais

La Réunion mise beaucoup sur son Tourisme pour booster son économie.
Il est dit et répété par diverses administrations ou opérateurs touristiques, que cette île ne dispose pas de suffisamment d’infrastructures hôtelières, de la qualité de service que requiert une hôtellerie haut de gamme, et bien entendu il est toujours comparé ce qui n’est pas comparable, le succès du Tourisme à l’île Maurice et celui mitigé de la Réunion.
Rappelons cependant, et ceci n’est que notre avis, que l’île Maurice à des atouts certains (dont une main d’œuvre qualifiée et bon marché – entre autres), mais que la Réunion n’en manque pas non plus. A défaut de bronzer idiot sur l’une, on peut également avoir 360° de plénitude sur l’autre.

Cependant quelques dysfonctionnements importants existent et étranglent financièrement certains hôteliers.
Nous pouvons confirmer aujourd’hui qu’au moins trois établissements de l’île, que nous aurons la pudeur de ne pas citer, afin de ne pas gêner l’éventuelle accélération administrative que nous leur souhaitons, attendent toujours ( certains depuis plus de 14 mois), leurs subventions de la Région.
En effet, chacun de ces établissement hôteliers (de deux à quatre étoiles) ont reçus un avis favorable de la Région , à leur demande de subventions.
Fort de cet avis, nos amis Directeurs se sont présentés à leur Banque respective, qui au vu du précieux sésame, leur ont accordés ce qui est appelé un « crédit relais », afin de pouvoir commencer leurs travaux.
Or, connaissez vous un établissement bancaire qui vous prête de l’argent sans vous compter d’intérêts ? Non, nous non plus.
Les subventions n’étant toujours pas arrivées à ce jour, certains hôteliers ont déjà payés 52.000 et 70.000 Euros d’intérêts !
Ces sommes pénalisent fortement la trésorerie de ces établissements qui ont beau appeler la Région pour que celle-ci honore ses engagements, rien n’y fait…………….
Cet argent de l’Europe est il passé dans d’autres comptes ? (certainement pas dans celui de la continuité territoriale qui lui aussi est dans le collimateur de l’état…) !
Il est vrai que 800.000 Euros ont été payés à 17 « experts » de métropole pour faire un audit de la situation lors du Chikunguya. Sur les subventions accordées par l’Etat pour le sauvetage des entreprises.
Et là, personne ne s’en est ému !

vendredi 18 avril 2008

La France investit dans le tourisme au Vanuatu


L'ambassadeur français au Vanuatu, Pierre Mayaudon, a remis la semaine dernière une somme de plus de 110 000 dollars australiens (près de 8 millions de F cfp) à la directrice du Bureau national du tourisme du Vanuatu, Annie Niatu, pour financer une étude sur le tourisme dans le pays.
Hilaire Bulé, notre correspondant au Vanuatu indique : « Cette étude permettra d'identifier certaines actions qui peuvent aider les investisseurs français à venir investir dans le domaine du tourisme au Vanuatu. Suite à l'assistance du gouvernement française, un cabinet d'études de Nouvelle-Calédonie a remporté l'appel d'offres qui a été lancé par le gouvernement du Vanuatu pour mener cette étude qui doit normalement se terminer dans les prochains six mois. L'année dernière le Vanuatu a enregistré plus de 8 000 touristes en provenance de la Nouvelle-Calédonie. »

Hausse de 7,2 % dans les arrivées touristiques


Ils ont été nombreux à avoir foulé le sol mauricien durant les trois premiers mois de cette année : 261 494 touristes précisément. Ce qui représente une hausse de 7, 2 % dans les arrivées par rapport au premier trimestre de l’année dernière. Les chiffres du ministère du Tourisme pour ce premier trimestre 2008 ont été communiqués hier.

Au mois de mars 2008, la plus grande hausse est notée sur le marché belge avec 1 300 arrivées, soit 96,9 % d’augmentation. Le marché indien, lui, progresse de 24,7 %, avec 3 200 arrivées. Le nombre de touristes en provenance de l’Afrique du Sud passe à 8 594, soit une hausse de 24,2 % par rapport à mars 2007. Les arrivées de l’Australie augmentent aussi, avec 1 300 visiteurs, ce qui représente 14,6 % d’augmentation dans les arrivées en provenance de ce pays.
La France, premier marché de la destination, progresse de 12,9 % et La Réunion de 11,7 %, avec 9 122 arrivées en mars. Une hausse de 11,6 % est notée pour le Royaume Uni. Les chiffres montrent toutefois un taux négatif pour ce qui est de l’Allemagne.

jeudi 17 avril 2008

Début de la saison cyclonique 2008 dans 44 jours


Pour le Bassin des Caraïbes voici ci dessous les prévisions cycloniques et les noms donnés aux différents phénomènes ( de la tempête à l'ouragan) qui pourront se présenter durant cette saison :

Prévisions
Tempêtes 15
Journée de Tempête 80
Ouragans 8
Journées d'ouragan 40
Ouragan Majeur 4

Et comment pourront ils s'appeler ?

Arthur
Bertha
Cristobal
Dolly
Edouard
Fay
Gustav
Hanna
Ike
Josephine
Kyle
Laura
Marco
Nana
Omar
Paloma
Rene
Sally
Teddy
Vicky
Wilfred

Saveurs et Senteurs de l'île de la Réunion


Cette association a pour objectifs la mise en œuvre de tous les moyens de promotion en vue de faire découvrir, connaître et développer la gastronomie régionale. A ce jour, ses Membres Adhérents Professionnels comptent parmi les restaurateurs les plus reconnus de l’île ; ils ont accepté et signé une charte d’excellence qui leur fixe des obligations de qualité, tant au plan de l’accueil qu’à celui du service, des équipements et de la tradition culinaire.
Ils se réunissent très régulièrement chez l’un ou chez l’autre avec les Membres d’Honneur de l’Association pour organiser des manifestations ou des actions gastronomiques dans leurs établissements, sur toute l’île, mais également, quand leur métier prenant le leur permet, en France métropolitaine ou dans les pays de la zone.
Un de leurs projets est de fédérer des restaurateurs des îles de l’Océan Indien. Ils unissent leurs efforts pour atteindre un autre objectif : aider des Associations caritatives telles que « Frères des Hommes » ou « Développement des Actions Spécifiques pour les Sensoriels des Iles ».
En conclusion, il faut dire que, autour des tables de réunion des Cuisiniers – Restaurateurs de Métier « Saveurs et Senteurs de la Réunion », il règne une ambiance de travail amicale et conviviale grâce aux échanges et aux remises en question qui permettent à tous de rendre compte de manière sereine des éventuelles remarques qu’ils ont entendues sur les uns et les autres.
Cette démarche permet des réunions constructives desquelles il ressort toujours des projets.
http://www.ilereunion.com/saveurs_senteurs/

Sous les cocotiers


Air Austral, la compagnie française de l'Océan Indien, met en place des vols aller retour entre Paris et l'île de la Réunion à partir de 633 € TTC. Pour une découverte de l'ïle aux volcans avant l'été.
Les voyageurs s'envoleront depuis Paris Lyon Marseille et Toulouse pour un voyage de maximum un mois jusqu'au 15 juin. Ces billets non remboursables sont en vente jusqu'au 30 avril sur le site d'Air Austral et au 0 825 013 012 (0,15 € min). Une réduction de 33% est accordée aux enfants de 2 à 11 ans. Les touts petits, jusqu'à 2 ans ne paieront que 10% du prix du billet.

Referendum à Mayotte en mars ou avril 2009, selon un élu local

Le gouvernement pourrait organiser un referendum à Mayotte en mars ou avril 2009 pour demander à ses habitants s'ils acceptent de voir la collectivité départementale devenir un département, a indiqué mardi le premier vice-président du Conseil général de Mayotte, M'Hamadi Abdou.
Le premier vice-président, qui s'est entretenu avec le secrétaire d'Etat à l'Outre-mer Yves Jégo, a annoncé que le Conseil général voterait "vendredi à l'unanimité" une résolution en ce sens.
"A Mayotte, de 7 à 77 ans, tout le monde adhère à ce statut (...) car ça fait longtemps que les Mahorais attendent d'être Français à part entière", a affirmé M'Hamadi Abdou.
"On nous a donné un calendrier, le ministère nous a promis qu'on va consulter au plus tard dans une année, donc en mars-avril 2009", a-t-il dit.

La profession se rassemble autour d’une campagne de communication d’envergure pour promouvoir les métiers des HCR !




C’est une première : les organisations professionnelles (SYNHORCAT, UMIH, CPIH, SNRC), les syndicats de salariés (FO et CFTC), le FAFIH se sont rapprochés pour travailler ensemble sous une même et seule bannière aux côtés du Ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi à la mise en oeuvre d’une grande campagne de communication nationale visant à valoriser les nombreux métiers de notre secteur.
Inscrite dans un des volets du Plan de Croissance et de Modernisation du secteur des Hôtels Cafés Restaurants, cette campagne de communication vient de faire l’objet d’un accord de partenariat annoncé officiellement par Christine Lagarde, Ministre des l’Economie et des Finances, à l’occasion d’une rencontre entre l’ensemble des acteurs de cette opération, le 13 février dernier à Bercy.

Le démarrage officiel de cette campagne coïncidera avec le lancement au mois de mai prochain d’un site web dédié, autour duquel tourneront toutes les actions du plan de communication imaginé par les agences sélectionnées : l’accent est principalement mis sur des partenariats avec les médias et outils de communication les plus prisés des jeunes (radio, sites web, mobile...) et sur des opérations en lien avec le corps enseignant, prescripteur incontournable auprès des jeunes comme de leurs parents quand il s’agit de parler orientation.

Le nouveau Guide CADHI pour l'hôtellerie et la Restauration est paru

Dans quelques jours, vous allez pouvoir découvrir la nouvelle édition du Guide CADHI.
Les nouveautés :
Une mise en page améliorée
L’agenda des salons professionnels
L’annuaire des écoles hôtelières
L’annuaire des syndicats
Un questionnaire de satisfaction
Des informations pratiques sur le marché

Treize hôtels verts en France

L'écolabel européen pour les services d'héber­gement touristique a été créé par la Commission européenne en 2003. Il s'inscrit dans le programme écolabel lancé en 1992 pour promouvoir les produits et services ayant un impact réduit sur l'environnement.
C'est le seul label environnemental à être certifié par l'Association française de normalisation (Afnor) et à être valable à l'échelle européenne. Symbolisé par un logo en forme de fleur, il s'applique à ce jour à vingt-six familles de produits et services, du papier aux détergents en passant par l'électroménager et certains services, comme les hébergements touristiques. Cela concerne tout type de logement.
Le village d'Opio du Club Méditerranée dans les Alpes-Maritimes est le premier village vacances de France qui vient de recevoir ce label vert. «L'obtention de la certification est fondée sur un système de points reposant sur 84 critères dont 37 critères obligatoires et 47 critères optionnels», souligne Agnès Weil, directrice du développement durable au Club Med.
Par exemple, 22% de l'électricité doit provenir de sources d'énergie renouvelable. Au village Club Med d'Opio, ce taux est de 40%. Le rendement des chaudières doit être supérieur à 90%, 60% des ampoules doivent être à faible consommation.
Ils ont le label :
Best Western, Capitouls Toulouse
Best Western, La Brandade, Nimes
Club-Med, Opio,
Domaine de La Plage, Valras,
Blanche de Castille, Dourdan,
Best Western, Marina, St-Raphael,
Best Western, Monopole Métropole, Strasbourg,
La Perouse, Nantes,
Les Orangeries, Lussac,
Les Tourelles, Le Crotoy,
Regent's Garden, Paris
Revalis Ever, Lagord
Best Western, Jardin Cluny, Paris

Le modèle de déclaration préalable à la cession d'un fonds de commerce soumise au droit de préemption de la commune est disponible !


Arrêté du 29 février 2008, JO du 1er avril
Un arrêté du ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire vient de fixer le modèle de la déclaration préalable à la cession d'un fonds artisanal, d'un fonds de commerce ou d'un bail commercial, devant être adressée à la commune titulaire d'un droit de préemption. Rappel : les communes disposent d'un nouveau droit de préemption dont elles peuvent faire usage lorsqu'un fonds, situé dans le périmètre de sauvegarde du commerce et de l'artisanat qu'elles ont elles-mêmes déterminé, est mis en vente. Pour plus d'information sur le mécanisme de mise en oeuvre de ce droit, voir notre article « Cession d'un fonds de commerce ». Le formulaire de déclaration préalable, enregistré sous le numéro CERFA 13644*01, est disponible directement ici. À savoir : la déclaration préalable doit être faite en quatre exemplaires et adressée, par pli recommandé avec demande d'avis de réception, au maire de la commune où est situé le fonds ou l'immeuble dont dépendent les locaux loués, ou déposée en mairie contre récépissé.


Laurence Le Goff

vendredi 11 avril 2008

Le Marisol : projet, déboires et aboutissement.



La résidence « Le Marisol » a été inaugurée le vendredi 4 avril, au soir.
Idylliquement placé en bord de mer, à Bas-du-Fort, à Gosier, sur le site de l'ancien hôtel du même nom, le complexe est doté d'une piscine et compte 162 appartements de standing, dont l'architecture rappelle le style colonial.
Au programme de l'inauguration, il y avait beaucoup d'invités (institutionnels, personnalités, locataires et propriétaires des lieux), petits fours et feux d'artifices !
Il faut dire que les directions de la SEMSAMAR et du Groupe Alain Crenn, initiateurs du projet, ont longtemps attendu cette fête.
Des évènements avaient, tour à tour, retardé les travaux :- par exemple, en octobre 2006, le mouvement de protestation de l'UGTG contre la liquidation d'entreprises locales au profit de spéculations immobilières,- puis en janvier 2007, une grue de 26 mètres étaient tombée, mais n'avait par chance fait aucun blessé grave.

12ème édition des Jeux des Îles en Guadeloupe du 24 au 30 mai 2008


M. SANTONI, Président du Comité Régional Olympique et Sportif de Corse, a eu en 1989 l’idée des Jeux des Îles, concept d’une organisation de jeux sportifs réservée aux jeunes habitants des Îles de la « Planète ».

En octobre 1997 à Ajaccio, ce rêve est devenu réalité !Après la Corse, la Sicile, Madère, les Baléares, la Sardaigne, les Acores, les Canaries et la Crète, ce sont aux Îles de Guadeloupe d’accueillir ce peuple de jeunes sportifs qui arrive d’innombrables îles de « rêve ».

Quoi de plus original que de découvrir les Îles de Guadeloupe en assistant à cette manifestation sportive ?L’échange culturel et sportif restera gravé à jamais dans la mémoire de tous ces jeunes participants.

L'île des français


Les deux premiers mois de l'année 2008 s'avèrent prometteurs pour le tourisme en Nouvelle-Calédonie. En janvier et février, avec 16.633 visiteurs, le pays enregistre une augmentation de 8,9% du nombre de touristes.

Cette progression est due essentiellement à la croissance du tourisme en provenance de France. Pour les deux premiers mois, avec 5.220 arrivées, le trafic en provenance de la métropole a augmenté de 22,7%, ce qui représente 70% de la croissance totale.

jeudi 10 avril 2008

La gestion environnementale des hôtels


LE tourisme représente aujourd’hui 10% de l’activité économique mondiale et figure parmi les principaux secteurs créateurs d’emplois.

Mais il est aussi responsable, au niveau planétaire de 5,3% des émissions de gaz à effet de serre dues à l’homme (94% pour le transport, 6% pour les consommations touristiques dans les bâtiments).Par conséquent, dés à présent, il faut penser “Tourisme durable” : un tourisme durable est un tourisme qui tient pleinement compte de ses impacts sociaux, économiques et environnementaux présents et futurs, en répondant aux besoins des visiteurs, des professionnels, de l’environnement et des communautés d’accueil.

La Réunion doit s’inscrire dans cette logique, d’autant plus qu’elle est une destination touristique.

Les hôteliers doivent par conséquent concevoir des bâtiments faiblement consommateur d’énergie et mettre en place toutes formes d’équipements économes et des énergies renouvelables.En effet, pour les hôteliers, la performance environnementale est un outil très avantageux et à double titre : des économies d’énergie évidentes limitant les dépenses quotidiennes et une image commerciale qui se gagne d’un argument de vente supplémentaire, car il a été prouvé qu’actuellement la majeure partie des touristes préférerait séjourner dans un hôtel respectueux de l’environnement.

De plus, un hôtel respectueux de son environnement s’intègre directement dans le cadre éminent du développement durable, concept qui devient la marche à suivre dans nos sociétés modernes. Sans préciser que le confort de la clientèle ne s’en trouve pas altéré.Pour mener à bien la conception ou la rénovation d’un hôtel respectueux de son environnement, les objectifs principaux suivant ont été définis :

1. Une conception architecturale thermiquement bien conçue garantissant le confort des occupants, et résistante aux conditions cycloniques.

2. La maîtrise et l’économie de l’énergie : mise en places d’équipements économes : éclairage performant (Lampe Eco).

3. Le chauffage solaire de l’eau sanitaire

4. La production d’énergie renouvelable rendant au possible le bâtiment positif en énergie grâce à des panneaux photovoltaïques.

5. La gestion de l’eau et le traitement des eaux usées

6. La gestion des déchets
Cette démarche a déjà été entreprise par des hôteliers de La Réunion, notamment par les adhérents de la charte RQT (Réunion Qualité Tourisme) puisque des critères environnement y ont été intégrés. Toutefois, sans pour autant être adhérent à cette charte, l’ARER conseille les hôteliers sur les actions à mettre en place.Agence Régionale de l’Energie RéunionPour le Développement durable, l’Adaptation au Changement climatique, les Energies renouvelables et la Maîtrise de l’Energie pour la construction, l’aménagement et le transport durablearer@arer.org , Conseils pratiques et gratuits au 0262 257 257

A l’assaut des cirques réunionnais, le vélo électrique !

Mises en relation par l’Agence de Développement de La réunion, les sociétés E-Nov (Toulon) et Electrans (La Réunion) proposent aux collectivités et au grand public des vélos électriques pouvant grimper des pentes de 17%, une performance adaptée à la topographie locale.
D’autre part ce vélo est doté d’un antivol intégré au guidon, un système de parking original (le « vélobloc ») et une station de recharge solaire. Le vélo électrique consomme 0.0034€ d’énergie au km. Plus d’infos : www.electrans.re

Trois hôtels destinés à la clientèle d’affaires ou en mission vont ouvrir avant 2010


Trois hôtels plutôt destinés à la clientèle d’affaires ou en mission (chantiers notamment) devraient ouvrir avant 2010 : il s’agit de la résidence hôtelière que l’homme d’affaires Sam Aziz, propriétaire notamment du distributeur Somaco, est en train de construire rue du Commerce à Mamoudzou (ville principale de Mayotte), l’hôtel Isis en haut de la Place Mariage - toujours à Mamoudzou - dont le promoteur est mauricien et enfin l’hôtel type Formule 1 qui s’élèvera au cœur du quartier résidentiel des Hauts Vallons, au-dessus du Jumbo Score, à Majicavo-Lamir.

Laurence de Susanne - IleMayotte.com

ARTS CULINAIRES DES TABLES DE L’OCEAN INDIEN



Licence professionnelle
Hôtellerie - Tourisme
Arts culinaires des tables de l’Océan Indien
Ouverture 15 septembre 2008
Coordinateur : herve.leroux@wanadoo.fr

Présentation

Résolument orientée vers les pratiques professionnelles, la licence professionnelle « Arts culinaires des tables de l’Océan Indien » a pour objectif d’acquérir les compétences requises pour exercer des fonctions d’encadrement dans l’hôtellerie – restauration. Elle prépare aux métiers de :
§ Chef exécutif
§ Responsable de la restauration, F&B manager
§ Responsable d’unité de restauration collective, rapide
§ Responsable d’établissement de restauration…

Elle permet d’acquérir :
§ Une formation universitaire de qualité dans les champs disciplinaires concernés.
§ Les compétences requises à l’exercice des métiers de l’encadrement dans la restauration
§ Une connaissance approfondie des pratiques culinaires de la zone Océan Indien
§ Une expérience de terrain grâce à l’organisation de stages et la mise en œuvre de « décades » (périodes originales de collaboration avec des chefs étrangers et des établissements hôteliers partenaires).


2. Objectifs de la formation

Répondre à l’évolution des besoins de la profession.

Les entreprises de restauration de la Réunion, recherchent des collaborateurs de mieux en mieux formés aux fonctions de management. Cette licence est créée pour répondre à cette demande. L’ensemble du programme est mis en place en étroite collaboration avec les responsables de la profession

Viser des compétences et qualifications précises

· Leadership et capacité de prise de décision
· Supervision de l’ensemble des activités de la cuisine et de la salle
· Élaboration des cartes, des menus des banquets et les autres prestations
· Aptitude à assurer les approvisionnements en denrées, équipements, matériels et produits divers
· Aptitude à gérer les ressources humaines, financières et matérielles
· Connaissance des besoins de la clientèle et capacité à assurer leur satisfaction
· Capacité à travailler en équipe, en coordination avec les autres services de l’établissement
· Maîtrise de la communication écrite ou verbale

S’ouvrir sur les arts culinaires internationaux

La formation vise à acquérir une connaissance approfondie et une maîtrise des arts culinaires de la zone Océan Indien. Cette région regroupe une grande partie des cuisines du monde - africaine, asiatique, indienne et européenne - avec les particularismes de chacun des pays qui la constitue.

3. Publics concernés :

Titulaires du BTS Hôtellerie-restauration.
Titulaire d’un diplôme bac +2 ayant une expérience suffisante de la profession.
Salariés, chefs d’entreprise justifiant d’une expérience permettant une validation des acquis.
Le diplôme s'inscrit dans la logique universitaire européenne LMD. Il délivre le titre de licencié et permet d'attribuer 60 crédits européens d'enseignement (ECTS), qui s'ajouteront aux 120 acquis par les étudiants au cours de leur formation précédente (de niveau Bac+2), pour un total de 180 ECTS.
Conditions d’accès
Coût de la formation
Formation initiale :
Frais d’inscription à l’université en cours de révision, merci de nous contacter par courriel.
Formation continue, nous contacter pour un devis (tarif variable selon le statut des candidats)
Modalité d’inscription : dossier de pré-inscription à demander par courriel à : licpro-actoi@hotmail.fr
(Pour toute demande de renseignement merci d’utiliser cette adresse)

Amarina Hotel à Madagascar fait peau neuve sur le Web

Bonjour de l'Amarina Hôtel,

C'est avec plaisir que nous vous annonçons que notre NOUVEAU SITE WEB www.amarinahotel.com est en ligne.

Nous vous invitions donc à le visiter et de nous envoyer vos commentaires par retour.

Le dessalement de l’eau s’impose aux hôteliers de l'île Maurice


Alors que les contraintes climatiques liées aux ressources en eau se font sentir de plus en plus, les hôtels ont commencé depuis plusieurs années à enclencher des programmes de gestion de l’eau. Au-delà des initiatives qui visent à décourager le gaspillage d’eau, la mise sur pied d’unités de dessalement ou de stations dépuration prend de l’ampleur. Au sein des divers complexes hôteliers, le traitement de l’eau se regroupe sous deux catégories principales.

Certains ont opté pour le traitement des eaux usées. Une fois traitée, l’eau est réutilisée dans les jardins et, dans certains cas, pour l’entretien.

Pour les grands hôtels, le traitement de l’eau constitue un moyen d’économiser les ressources, aussi bien en eau, qu’en termes de budget.

Le dessalement est un autre moyen auquel les hôteliers font appel. Ainsi, le groupe Naïade Resorts projette d’équiper tous ses hôtels à Maurice en unités de dessalement d’ici la fin de l’année. Les études de faisabilité et les plans se poursuivent dans cette optique. A ce jour, deux hôtels du groupe comptent des unités de dessalement, notamment Beau Rivage, et le dernier-né de Naïade Resorts, Tamassa.

Chez Veranda Resorts, le sujet est également à l’ordre du jour. Pour l’instant, aucun de ses sept hôtels n’est équipé pour le dessalement mais Veranda Resorts se penche sur le sujet. Le groupe confirme que des études de faisabilité par rapport à ce sujet sont en cours pour en déterminer les coûts et l’impact de la mise en place de stations de dessalement rattachés à un ou plusieurs des hôtels du groupe.

Le dessalement ne représente pas l’unique option pour les hôtels qui souhaitent investir dans le traitement des eaux. Au sein du groupe Sun Resorts, pas de dessalement, mais une station d’épuration pour deux de ses quatre hôtels. Une unité conjointe gère le traitement des eaux usées de La Pirogue et de Sugar Beach.

samedi 5 avril 2008

Des hôtels écolos tendent la main aux voyageurs


Alors qu'un sentiment de culpabilité à l'égard du réchauffement climatique grandit chez les touristes, des hôtels et lieux de vacances réalisent que pour satisfaire ces clients «verts», il ne suffit pas de leur demander de réutiliser leurs serviettes de toilette.

Des systèmes de climatisation sous la mer, un éclairage intelligent, des potagers nourris à l'engrais biologique et des spas entièrement construits de boue sont utilisés pour courtiser des touristes soucieux de leur empreinte écologique.

De même, les entreprises se rendent compte qu'avoir une politique environnementale est bonne non seulement pour leur conscience mais aussi pour leur porte-monnaie et leur réputation.«L'environnement est devenu très important pour les gens», remarque Nantiya Tulyanond, propriétaire du Old Bangkok Inn, petit hôtel de la capitale thaïlandaise, équipé d'un nombre impressionnant de technologies pour économiser l'énergie.Au sud de la station balnéaire thaïlandaise de Hua Hin, les employés du Six Senses Hideaway, un complexe de 12 hectares, se déplacent à bicyclette à l'ombre des palmiers et bananiers.

Les clients se reposent dans des villas privées faites de matériaux locaux. Pratiquement aucun objet dans la chambre n'est en plastique et, posée en évidence à côté du lit, une brochure encourage les clients à compenser les émissions nocives de gaz provoquées par leur voyage en avion.Srichan Monrakkharom, directeur social et environnemental de ce complexe hôtelier, s'enthousiasme sur la champignonnière de l'établissement, sur ses bains de boue, son carré de fines herbes, son chauffe-eau solaire et un système d'air conditionné qui s'éteint dès que les clients laissent la porte ouverte.

«Les Européens culpabilisent sur la longueur du vol et les émissions de gaz à effet de serre que cela génère», précise ce diplômé en sciences de l'environnement.L'année dernière, un rapport des Nations Unies a mis en avant le fait que le tourisme (plus particulièrement les vols aériens) représentait environ 6 % des émissions globales de dioxyde de carbone, principal gaz alimentant le réchauffement climatique.

Les prévisions faisant état d'un doublement des voyageurs internationaux à l'horizon 2020, les émissions vont s'accroître.Clients du Six Senses, Will et Lyn Swayne, tous deux la trentaine, travaillent dans la publicité à Hong Kong et essaient de s'informer sur les références environnementales d'un hôtel avant de réserver. «Nous essayons de réduire nos voyages, de partir moins souvent», explique Will Swayne.

Plusieurs clients avouent cependant ne pas savoir comment s'informer sur les pratiques environnementales d'un hôtel.Sur Internet, pour eco-resort Thailand, un moteur de recherche renvoie jusqu'à 34 000 résultats, le préfixe «eco» signifiant parfois que l'hôtel est simplement construit au bord d'une plage immaculée.Pour les voyageurs «verts», il existe des ressources sur internet telles que le site EnvironmentallyFriendlyHotels.com et la certification privée Green Globe 21, octroyée à des hôtels respectant certains critères.

Mais Oliver Martin, directeur associé de la Pacific Asia Travel Association, précise qu'il y a tellement de standards «verts» différents sur le marché que les touristes s'y perdent.«C'est le Far West», dit-il, en précisant que les voyageurs européens, notamment, exigent maintenant beaucoup plus qu'un effort symbolique.Michael Kwee, directeur de la responsabilité sociale pour la chaîne singapourienne haut de gamme Banyan Tree Hotels and Resorts, indique que celle-ci est sur le point d'annoncer une politique globale de gestion de l'eau et de l'énergie.

Charlie McDonald-Gibson
Agence France-Presse
Hua Hin, Thaïlande

vendredi 4 avril 2008

Note d'information relative à la Candidature de la Réunion au Patrimoine Mondial de l'UNESCO

« Pitons, cirques et remparts de l'île de La Réunion »
Qu'est-ce que le Patrimoine Mondial de l'UNESCO ?
- 1972 Convention du Patrimoine Mondial visant à l’identification, la protection, la conservation, la mise en valeur et la transmission aux générations futures du patrimoine culturel et naturel de valeur universelle exceptionnelle.
Trois types de biens sont considérés :
- naturels
- culturels
- mixtes (à la fois naturels et culturels)
Définitions : La « valeur universelle exceptionnelle » se définit comme l’importance naturelle et /ou culturelle telle qu’elle transcende les frontières nationales et qu’elle présente le même caractère inestimable pour les générations actuelles et futures de l’ensemble de l’humanité. A ce titre, la protection permanente de ce patrimoine est de la plus haute importance pour la communauté internationale.
Les Etats parties à la Convention proposent une liste indicative de biens naturels et culturels pouvant répondre à ces définitions (pas plus de deux par année et par état).
Ces biens doivent être ensuite décrits dans un dossier de nomination défini par la convention.
Ces biens doivent produire les preuves du caractère universel et exceptionnel en se comparant avec d’autres sites (inscrits ou non au Patrimoine Mondial).
Ils doivent répondre à au moins l' un des 10 critères : 6 critères pour les biens culturels et 4 pour les biens naturels. Ils doivent également proposer les conditions d’authenticité et/ou d’intégrité, à des conditions de gestion.
Les paysages de l’île peuvent être considérés comme exceptionnels et universels. La Réunion sera donc proposée au titre d’un bien naturel de la France.
L’originalité de La Réunion résulte de :
- la dynamique accélérée à la fois créatrice et destructrice (cf : ses cirques résultant à la fois
d'effondrements et de phénomènes d’érosion exceptionnelle sur une durée très courte) .
- la dynamique de la biodiversité (flore, faune et écosystèmes) utilisant les multiples formes de reliefs et les nuances climatiques.
Ces dynamiques permettent de répondre aux quatre critères d'éligibilité de l'UNESCO concernant l'esthétique des paysages, l’histoire de la Terre, la diversité biologique et sa conservation.
La construction de l’île est liée à un volcanisme récent induit par un point chaud sous-marin de la plaque indienne. Le jeu de la tectonique et d’une érosion exacerbée par des phénomènes climatiques violents transforme les paysages à une vitesse dont il existe peu d’exemples
comparables dans le monde. La complexité géomorphologique est accompagnée d’une extrême diversité climatique : les topoclimats.
L’île est au carrefour des échanges d’espèces provenant d’Afrique orientale, de Madagascar
et de l’Inde. Les îles des Mascareignes, et parmi elles La Réunion, sont reconnues comme les
points chauds de la biodiversité à l’échelle mondiale. Le caractère insulaire a créé les conditions propices à un endémisme floristique et faunistique. En dépit des pressions anthropiques subies depuis le XVIIème siècle, ce patrimoine vivant s’est maintenu dans des proportions largement supérieures à beaucoup d’autres sites comparables (Galapagos, Canaries...).
Historique de la démarche :
La Réunion a été inscrite en 2003 sur la liste indicative du patrimoine mondial de la France
déposée auprès de l’UNESCO. Le bien proposé était le massif du Piton de la Fournaise. Le
Parc National était affiché comme le cadre et la garantie permettant d’asseoir une candidature solide.
La mission Parc réactive le dossier fin 2005. Elle lance une expertise qui aboutit à un rapport
intitulé « éléments d’évaluation pour une candidature de La Réunion comme site du Patrimoine Mondial avec un calendrier : pré-dossier en septembre 2007, dépôt du dossier définitif réunionnais à l’UNESCO fin janvier 2008, expertise internationale vers octobre 2008 et décision du Comité du Patrimoine Mondial de l’UNESCO en juillet 2009.
Le Préfet a saisi le Ministre de l’Ecologie et du Développement Durable pour lui demander de
renouveler et de modifier l’inscription de La Réunion sur la liste indicative française.
le Ministre de l’Ecologie et du Développement Durable a inscrit cette demande à l’ordre du
jour du comité interministériel ad hoc (Comité National des Biens Français) qui donne un avis
favorable lors des réunions des 24 avril et 11 octobre 2006.
Pilotage de la démarche
- Un « Comité Directeur » (DIREN, Région, Département, Association des Maires,et représentants du monde scientifique universitaire Réunionnais) présidé par le Préfet valide les contenus, les étapes et la mise en forme du dossier de candidature.
- Une commission consultative de concertation dite « Commission du Patrimoine Mondial» (communes, communautés de communes, chambres consulaires, Office National des Forêts, Conservatoire Botanique National de Mascarin, Muséum d'Histoire Naturelle, Observatoire volcanologique de La Réunion, Ile de La Réunion Tourisme…) assure la cohérence du dossier avec les différents acteurs concernés.

Maîtrise d’ouvrage et financements :
Le dossier de candidature est élaboré par la Mission de création du Parc national de La Réunion, puis par le Parc dès sa mise en place. Autour d'un chef de projet : Jean-François BENARD, deux experts sont mobilisés pour définir la méthode, réunir les éléments techniques et scientifiques et formaliser le dossier de candidature : Gérard COLIN et René ROBERT. Le secrétariat, la réalisation des cartes, la recherche des illustrations et l'animation des réunions sont assurés par l'équipe de la mission puis celle du Parc national.
Les financements nécessaires ont été apportés à parts égales par l'Etat, la Région Réunion et le
Département de La Réunion.

L'échéancier est défini par la Convention du Patrimoine mondial et non négociable :
- mai 2007 : présentation d'un premier dossier par la délégation réunionnaise, à Paris à 5 institutions nationales et internationales
- 15 septembre 2007 : envoi d’un pré-dossier de candidature au MEDD et au Centre du
Patrimoine Mondial pour évaluation
- expertise, à La Réunion du pré-dossier par l' UICN France (Carole MARTINEZ)
- 6 novembre 2007 : passage de ce pré-dossier devant la Commis Nationale des Biens
Français
- 15 décembre 2007 : dépôt du dossier quasi définitif au MEDD
- 09 janvier 2008 : validation de ce dossier par la Commission des Biens Français
(Comité Interministériel qui donne des avis sur les dossiers français Patrimoine
mondiaux) après présentation par la délégation réunionnaise à Paris
- 31 janvier 2008 : transmission par l'Etat Français du dossier définitif réunionnais
à l'UNESCO
- octobre 2008 : visite prévue d'experts internationaux de l'UICN monde (Union
Internationale pour la Conservation de la Nature) à La Réunion
- juin ou juillet 2009 : examen de la candidature de la Réunion par la comité
patrimoine mondial de l'UNESCO.
En cas de validation, l'UNESCO saisira l'Etat français pour l'inscription sur la liste officielle des biens du Patrimoine Mondial de l'Humanité. L’organisme responsable de la gestion du bien Patrimoine Mondial sera l’établissement public du Parc National de La Réunion.

L'UNESCO attend que le plus grand nombre s'approprie cette démarche .
Aussi, depuis le 9 janvier 2008, la rédaction d'un ouvrage destiné au grand public (à partir du
dossier présenté aux experts de l'UNESCO) est en cours de réalisation par le Parc national de
La Réunion : son édition est prévue avant la fin de l'année.
Une plaquette de 8 pages sera éditée bientôt et largement diffusée afin d'informer le grand
public sur cette démarche.
Diverses conférences et interventions pédagogiques sont d'ores et déjà programmées auprès
de publics variés : monde éducatif, associations, entreprises et banques ...
Parc national de La Réunion
Contact : marie-jorge.fabien@reunion-parcnational.fr

Des hôtels verts, une nécessité pour une clientèle

Des hôtels verts, une nécessité pour une clientèle qui les recherche et pour les hoteliers confrontés à une croissance considérable des coûts de l'énergie.Pour les hôteliers, la performance environnementale est un outil très avantageux et à double titre: des économies d’énergie et d’eau évidentes limitant les dépenses quotidiennes et une image commerciale qui se double d’un argument de vente supplémentaire : il a été prouvé que la majeure partie des touristes préfèrent séjourner dans un hôtel respectueux de l’environnement, en plus d’être confortable. Ce type d’hôtel s’intègre directement dans le cadre du développement durable et de l’adaptation au changement climatique, tout en garantissant le confort de la clientèle, des économies financières aux exploitants, des recettes accrues par renouvellement de la clientèle. Pour mener à bien la conception ou la rénovation d’un tel hôtel, certains objectifs principaux ont été identifiés:
• Une conception architecturale bioclimatique et une conception thermique et énergétique spécifique et optimisée garantissant le confort des occupants, sans recours à la climatisation• La maîtrise et l’économie de l’énergie, et de l'eau
• Le chauffage solaire de l’eau sanitaire,
• La production d’énergie renouvelable rendant le bâtiment positif en énergie (système photovoltaïque connecté ou non, éolienne, pour les sites isolés ou connectés au réseau, stockage et régulation),
• La gestion de l’eau et le traitement des eaux usées,
• La gestion des déchets,
• La formation du personnel,
• La sensibilisation des clients,
• Lats but not least : un marketing adéquat.
IL s'agit plus globalement de structurer un ensemble d'Hôtels 'Verts' répartis sur Madagascar, et plus largement sur l’Océan Indien, un réseau touristique démonstratif à réaliser sur la période 2007-2013.

jeudi 3 avril 2008

GERRI pour La Réunion 2030, l’énergie verte

Si GERRI est bien le projet de La Réunion, il ne peut rester « confiné » sur l’île.
Son objet vise à positionner La Réunion parmi les territoires les plus volontaires et les plus audacieux, et devenir ainsi un espace d’expérimentation et de démonstration à grande échelle. Ce programme doit donc être également approprié par l’Etat au niveau de la métropole.
Le projet Réunion 2030 – GERRI, par les réalisations concrètes qu’il comportera tout au long de son déroulement, est porteur d’une culture du résultat. Il offre des conditions de transparence absolue par la mise en œuvre d’indicateurs généraux synthétiques et d’indicateurs détaillés, accessibles et actualisables en permanence.
Vous pouvez consulter le document (.pdf) en cliquant ici

Les fonds européens destinés à la Guadeloupe.




Lors de réunions, qui se sont tenues dans l'Hexagone, les programmes guadeloupéens 2007-2013 ont été adoptés par la Commission européenne.
Mardi 1er avril 2008, le préfet de région, Emmanuel BERTHIER, autorité de gestion des programmes opérationnels, a réuni les membres du Comité National de suivi des fonds européens, afin d'adopter localement les documents nécessaires à la mise en oeuvre de ces nouveaux programmes, puis de les lancer officiellement.
Etaient présents des représentants de la Commission européenne, des collectivités territoriales et des ministères concernés.
Il a été décidé que l'archipel bénéficie de 5,2 millions d'euros du fond européen pour la pêche (FEP), de 986,3 millions d'euros du fonds européen de développement régional (FEDER), de 221,3 millions d'euros du fonds social européen (FSE) et de 138,1 millions d'euros du fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER).

mercredi 2 avril 2008

Subventions pour l'hôtellerie Réunionnaise


Dans le cadre du programme des Aides et Subventions aux Entreprises Touristiques, les Administrations peuvent subventionner jusqu’à 50 % des Recours à des compétences externes aux entreprises, et ceci au titre de la mesure A6-03 FRAC/FRAT.
Dans ce cadre de prise en charge il est mentionné explicitement ce qui suit :

« Mesure 2.22 « Aides immatérielles et compétences externes aux PME et TPE » Programme Opérationnel FEDER 2007 – 2013 »

Dans le cadre de l'enrichissement des compétences des entreprises de tourisme, dont le siège social est à la Réunion et qui sont classés Hôtels ou restaurants de Tourisme,et si ces entreprises font appel à des Prestations de Conseils spécialisés dans les domaines suivants :

- Diagnostics techniques, économiques, juridiques et financiers.
- Faisabilité de projets pouvant déboucher sur la création de nouveaux produits et unités touristiques.
- Organisation générale de l'entreprise, stratégie de développement et de diversification.
- Amélioration de la gestion des ressources (humaines -financières ou matérielles) de la production, de l'exploitation, de la commercialisation, de l'architecture, de l'aménagement et de la décoration.

Elles peuvent être éligibles à des subventions co- financées par la REGION et la DRIRE, dont les montants peuvent être pris en charge à 50 % des prestations facturées pour un montant maximum de 30.000 Euros.
Les prestations de SERVHOTELGROUP entrent donc dans les dépenses éligibles et pouvant être subventionnées.

mardi 1 avril 2008

Les Jardins D'Héva présents sur la Toile


Ce n'est pas un poisson d'avril ! Depuis aujourd'hui l'hôtel Les Jardins d'Héva a son site internet.
Situé à Hellbourg , cet hôtel de tourisme classé deux étoiles vous invite dans le cadre enchanteur du cirque de Salazie.
Profitez de son SPA inclus dans le tarif de votre chambre et de son restaurant avec une vue panoramique sur le cirque.

Des bungalows à thème pourront vous accueillir pour des week ends détente .
De magnifiques randonnées sont proposées.
Alice DELIGEY vous accueille avec toute la gentillesse et le professionnalisme que vous attendez.
Aux Jardins d'Héva, vous êtes réellement des hôtes et toute l'équipe de l'hôtel sera aux petits soins pour que vous passiez un séjour inoubliable.
Vous pouvez visiter l'hôtel en vous rendant sur http://www.lesjardinsdheva.com/