Les Vidéos de la Chaine Voyages

vendredi 29 février 2008

Calendrier de la Campagne de Promotion de l'IRT


Dès le 10 mars, La Réunion affichera ses nouvelles couleurs pour séduire les vacanciers. Nouveau logo, l’agence Venise a choisi d’associer La Réunion à la grande variété d’attractivité qu’elle propose. Le logo représente donc La Réunion dans un globe, aux couleurs tropicales. « Le bleu turquoise des lagons valorisé par le Parc Marin, le jaune du sable blond et du soleil, le vert des forêts endémiques protégées par un Parc National et le rouge-orangé du volcan Piton de la Fournaise.

Le message qu’on a cherché à délivrer est qu’à La Réunion, il y a différents paysages, vous pouvez aller au volcan le matin et vous baigner dans le lagon l’après-midi, d’autre part, il y a plein de rencontres à faire avec la grande diversité des cultures présentes sur l’île », explique François Monnet.Aujourd’hui, les vacanciers ont de nouvelles attentes, ils veulent de la découverte, de l’émotion, de l’originalité et du farniente, l’agence a donc conçu 4 nouveaux visuels “360° de plénitude” où le touriste est au cœur de l’action. « On passe d’un vacancier spectateur à un vacancier acteur de ses vacances », ajoute le responsable.

Du 10 mars au 21 avril, le plan médiatique va être lancé :

du 10 au 17 mars, campagne radio avec 5 à 7 spots de 30 secondes chacun vont être diffusés tous les jours sur les plus grandes radios françaises : France Inter, Europe 1, RL, France Info.

du 13 au 17 mars, panneaux d’affichage au MAP, avec une personnalisation des tickets de parking, affichage à la Porte de Versailles, dans l’Eurowall.

du 15 au 30 mars, campagne Internet avec des bannières sur des sites tels que “Le Figaro”, “Le Monde”, “Le Routard”, Web 66, Voyages SNCF, etc...

du 7 au 21 avril, campagne d’affichage dans les aérogares et aéroports de France.« Au total, cette campagne de publicité délivrera plus de 360 millions de contacts pour 360° d’efficacité », indique François Monnet.A côté de la campagne destinée au grand public, David Chalais s’occupe du dispositif pour les professionnels du tourisme.« Nous serons présents au Salon, le Monde à Paris, avec un atout de marque, Miss France. Nous mettrons en place de grandes actions ».

Tout d’abord, La Réunion sera représentée sur 2 pages dans des grands journaux spécialisés. L’île sera présente avant et pendant la semaine sur le site du TourMag, portail des professionnels du tourisme francophone.

De plus, une newsletter et un site Internet spécifique réservé aux professionnels viendront renforcer l’impact du lancement de la campagne touristique.

Mais il est sûr que cette campagne, seule, ne pourra pas résoudre tous les problèmes. Nous avons de gros soucis au niveau de l’hébergement, du transport aérien, « il faudra travailler avec l’ensemble des acteurs de l’IRT, et notamment lors des Assises locales du Tourisme. Mais en attendant, soit on ne fait rien, soit on continue à travailler », explique Pierre Vergès, et l’IRT a choisi la seconde option.

Pour l’instant, la date des retombées économiques pour notre île reste un mystère, mais on pourra compter sur un observatoire du tourisme pour voir comment la campagne a été vue et mémorisée, et des aménagements seront possibles si nécessaire.

Sophie Périabe

Ivan «était de même intensité que l’ouragan Katrina qui a dévasté la Nouvelle Orléans aux États-Unis en 2005».


La vulnérabilité de la Grande île s’est accentuée après le passage d’Ivan. Elle compte ses morts, fait le bilan des infrastructures détruites. L’économie du pays est à l’agonie.

Avec ses rafales de vent de 230 km/heure, Ivan a d’abord touché la petite île touristique de Sainte-Marie, puis une grande partie de l’est du pays. A Sainte-Marie, près de la moitié des 20 000 habitants se retrouvent sans-abri, avance le BNGRC. Ivan «était de même intensité que l’ouragan Katrina qui a dévasté la Nouvelle Orléans aux États-Unis en 2005».
Outre l’agriculture qui a énormément souffert, le tourisme a aussi pris un sérieux coup. Tous les hôtels situés sur d’importants sites touristiques comme Foulpointe, Mahambo et Fénérive-est ont subi des dégâts matériels considérables.

L’Office régional du tourisme de Toamasina (ORTT) évalue à 80% la destruction. De nombreux établissements, fleurons du tourisme local et national, ont perdu presque la totalité de leurs bungalows. «La forte vague qui a atteint deux mètres a tout ravagé sur son passage.
Les constructions n’ont pu résister mais les hôteliers sont déjà à pied d’œuvre pour la reconstruction. Ils lancent le défi de tout remettre en état pour les vacances de Pâques», déclare Ludovic Razafindramazana Chan, directeur exécutif de l’ORTT.

Journées Mondiales du conte à la Réunion




Les Jardins D'Héva ont le plaisir de vous communiquer leur participation aux Journées Mondiales du conte ainsi que le programme sur l'ensemble de l'île.
Un petit moment de rêve au coeur de nos montagnes que nous vous proposons de passer avec nous à Hell-Bourg aux Jardins d'Héva.
Soirée du vendredi 14 aux Jardins d'Héva à 19h15. Tel: 0262 47 87 87 0692 76 82 10 Entrée libre - Repas au buffet 15€/pers. sur réservation Samedi matin: écoles ou collège.

jeudi 28 février 2008

Nouveau logo La-reunion-tourisme.com


Le nouveau logo du site www.la-reunion-tourisme.com. Ce visuel fait partie d'une campagne de communication piloté par l'agence Venise.
Des visuels seront déployé en métropole prochainement. Valérie Bègue est dans cette campagne l'ambassadrice de l'île de la Réunion .
Blog de Jonathan Gravier

Tourisme sinistré sur l’Est


NOUS savions déjà que la plupart des agences de voyages réceptives réservaient l’Est pour meubler le jour d’arrivée s’arrêtant à la Maison de la Vanille - disparue pour un objectif plus rentable - avant de se rendre à Hell Bourg dans le cirque de Salazie, puis de filer définitivement sur l’Ouest et le Sud de l’Ile.
En d’autres termes, bien que le tourisme soit la 2ème activité économique de l’île, nous ne savons pas retenir les touristes chez nous. Certains diront que c’est parce qu’il n’y a pas assez de structures d’hébergement, or, c’est un faux débat : les touristes ne risquent pas de rester loger chez nous sur l’Est car il n’ y a pratiquement rien pour les retenir, les distraire, les interesser... du coup, ils "zappent", comme les agences de voyages qui l’ont compris depuis longtemps.
Quand on parle du devenir du tourisme à la Réunion, j’ai toujours remarqué que les instances représentatives n’invitaient au débat que "les gros zozos" : hôtels 3 ou 4 étoiles ou instances administratives mais jamais les"petits", ceux qui font découvrir ou animer l’île.
D’où d’éternels débats sur une promotion de la Réunion sur les pays à fortes devises... Or depuis des décennies, on ne voit pas l’ombre d’un touriste allemand ou suisse sur l’île.Pourquoi ? parce qu’en amont on ne fait rien ou presque rien pour les retenir : or on ne vient pas uniquement dormir à la Réunion...Certes, on invoquera le Chikungunya qui a eu effectivement des effets désastreux sur le tourisme... mais aujourd’hui, malgré un sursaut en Décembre/Janvier principalement dû au tourisme affinitaire, pourquoi ne vient-il toujours pas ce touriste voir une île aussi splendide, stagnant à 280.000 visiteurs quand l’ile sœur - plus touchée que nous par le Chik - affiche fièrement plus de 800.000 visiteurs ?
D’abord, et incontestablement, en raison du coût exorbitant du billet d’avion et des piètres conditions de voyages (manque de confort, retards systématiques etc...), mais aussi faute de rendre notre île plus belle et attractive.
Quelles structures proposent des réceptionnistes et serveurs bilingues ? Des animations ou conférences en soirées pour les distraire ? Des visites guidées à moins de 60 euros/pers/par jour ailleurs que sur les 5 sorties classiques ?
Après avoir alléché le client par un "package" effectivement intéressant avion/hôtel, on l’assomme avec des visites à tarifs exorbitants...On lui offre des plages non entretenues, des lagons encombrés d’oursins et de coraux morts, des sites de randonnées sales... On veut un tourisme élitiste, et on boycotte toute structure financièrement accessible au plus grand nombre : exit les campings de plage ou à mi-hauteur... d’où un camping sauvage revendiqué par de plus en plus de Réunionnais en vacances...
Mais revenons sur l’Est et en particulier à Saint-André où j’habite : aucune revendication à ma connaissance de notre maire pour faire baisser le prix du billet d’avion, ou pour prolonger le tram-train jusqu’à Cambuston.
Au contraire, il n’en veut pas, considérant notre ville comme un ilet.Pas davantage d’effort pour retenir le touriste : pas de piscine ni de bassins de baignade entretenus et surveillés alors que nous avons des berges magnifiques, pas de sentier littoral, des rues sales jonchées d’encombrants, un "office de tourisme" qui ne doit pas recevoir plus de 3 visiteurs/jours vu qu’il est excentré, fort peu d’animations de théâtre de musique ou de danses autant au parc du Colosse (toujours désert) qu’à la salle des fêtes (d’ailleurs toujours pas aux normes sécuritaires) et pourtant une distribution massive de subventions à des associations auxquelles on ne demande aucune contrepartie en termes d’animation de notre ville. Bien sûr pas de sentiers, de pistes cyclabes, de club d’équitation... et des lieux de mémoire et d’histoire laissés à l’abandon ou non valorisés : maison Valliamée, vieille église deChampborne, rivière St Jean... et pourtant notre maire avait 38 ans avec son équipe pour apporter un cadre agréable aux résidents et faire quelques efforts en matière de tourisme...
Il est temps par conséquent de promouvoir une nouvelle équipe, dynamique et motivée pour faire changer les choses et ne pas abandonner Saint-André et l’Est en général à son triste sort en matière de tourisme.

Patrice LouaiselActeur du Tourisme

La Guadeloupe fait sa publicité en métropole




Dès le lundi 3 mars, et durant trois mois, le Comité du Tourisme des Iles de Guadeloupe met en place une nouvelle campagne de communication pour le printemps.


En accord avec quatre tour-opérateurs, l’office du tourisme propose un séjour de 9 jours / 7 nuits, pour un départ depuis Paris entre le 1er mai et le 19 juin 2008, à partir de 880 euros par personne. Soucieux d’augmenter le nombre de visiteurs en Guadeloupe, le Comité du Tourisme lance un tarif promotionnel pour découvrir l'Archipel à partir de 880 euros par personne, pour un séjour de sept nuits en hôtels deux ou trois étoiles, incluant le petit déjeuner et le transport aérien depuis Paris.
Certains tour-opérateurs incluent également le transfert de l’aéroport vers le lieu de villégiature.La campagne publicitaire est l’œuvre de l’agence DDB Travel & Tourism, déjà à l’initiative de plusieurs campagnes publicitaires dans le domaine touristique (Egypte, Malaisie, Oman, Grande-Bretagne, Aoste, Andorre, Val Thorens,…), qui a créé cette offre, en collaboration avec quatre tour-opérateurs partenaires : Circuits & Compagnie, Couleurs Lagons, Exotismes et Starter.
Les vols auront lieu sur les trois compagnies aériennes desservant Pointe-à-Pitre depuis Paris, Air France, Air Caraïbes et Corsairfly, en fonction des disponibilités.
Le Comité du Tourisme des Îles de Guadeloupe privilégie ainsi un dispositif publicitaire avec une forte visibilité et une couverture nationale, dans le but de valoriser la spécificité de l'Archipel des Îles de Guadeloupe.
Cette promotion est valable pour un départ entre le 1er mai et le 19 juin 2008 selon les tour-opérateurs. Site du Comité du Tourisme des Îles de Guadeloupe : http://www.lesilesdeguadeloupe.com/
Publié le 26/02/2008 Auteur: Charlotte Simon

vendredi 22 février 2008

La saison hivernale approche de sa fin et les touristes préparent déjà leurs vacances de printemps.


Selon des résultats présentés par Go Voyages, les Français veulent du soleil avant l'été et s'offrent des séjours pour les Etats-Unis.

L'Espagne arrive en tête des destinations les plus demandées pour des départs entre le 21 mars et le 21 juin. Au 10 février, le tour-opérateur enregistre 37% de clients supplémentaires par rapport à l'année dernière et pour les séjours du printemps.

Le bassin méditerranéen enregistre toujours, comme l'an dernier, les meilleurs taux de réservation. L'Espagne décroche la première place avec une progression du nombre de passagers de 38%. Elle prend la place du Maroc qui arrive au deuxième rang (+ 18%). "Soleil, tarifs attractifs et proximité favorisent ce phénomène", explique Go Voyages.

A noter aussi, la bonne progression de l'Italie (+ 21%, 4ème rang) et celle plus faible du Portugal (+ 2%, 5ème rang).La meilleure progression est à mettre à l'actif des Etats-Unis qui se classent à la troisième place des destinations les plus réservées pour le printemps. Le nombre de passagers augmente de 45%.

La faiblesse du dollar n'est pas étrangère à cet engouement.Du côté des destinations un peu plus lointaines, le soleil est toujours de mise.

Guadeloupe (6ème rang, + 7%), Réunion (7ème rang, + 28%), Thaïlande (8ème rang, + 30%), Sénégal (9ème rang, + 26%) et Martinique (10ème rang, - 6%) occupent les dernières marches du Top 10.

Ces tendances observées par le tour-opérateur poursuivent celles amorcées déjà cet hiver. Les professionnels du tourisme s'accordaient à dire, selon des propos recueillis par Relaxnews au début du mois de février, que les destinations ensoleillées représentaient une sérieuse concurrence aux stations de ski cet hiver.

Source : Relaxnews

La valse des Directeurs chez Apavou

Après Olivier Rousselier, c'est au tour du Directeur de l'ex Grand Hôtel des Mascareignes de s'en aller ! (Il parait qu'un nouveau Directeur est déja sur place, arrivé en droite ligne de métropole et venant pour la première fois travailler en outremer).
Probablement, et ce très rapidement, suivi du Directeur des Jardins de Bourbon, et de la Directrice de l'hôtel des Aigrettes !
Décidément la stratégie du Groupe Apavou, en tout cas de la branche hôtelière, est difficile à comprendre.
Mais peut être cela fait il partie d'un plan précis ? Dans tous les cas le malaise s'accentue et les TO et Agences de voyages ont de moins en moins d'interlocuteurs......
Le Directeur du Lancastel ( anciennement Directeur de l'hôtel Saint Denis) et qui fait partie ,pour combien de temps, de la vieille garde doit se sentir bien seul..........

Les Ecoles Hôtelières dans les DOM

LP hôtelier La Renaissance · Plateau Caillou · 97467 SAINT-PAUL · LA RÉUNION
Tél. : 0262 55 43 00 · Fax : 0262 55 64 77
E-mail : ce.9740738j@ac-reunion.fr ·

Lycée polyvalent Grand-Bourg · Rue de la Savane · BP 18 · 97112 GRAND-BOURG · GUADELOUPE
Tél. : 05 90 97 90 42 · Fax : 0590 97 85 65 · E-mail : ce.09711012y@ac-guadeloupe.fr

Lycée de l’hôtellerie et du tourisme · Saint-Félix · BP 249 · 97190 LE GOSIER · GUADELOUPE
Tél. : 0590 85 28 91 · Fax : 0590 85 29 09 · E-mail : ce.09711066g@ac-guadeloupe.fr

AMEP Raynal Sarcus · 4500 route de Moutte · 97263 FORT-DE-FRANCE · MARTINIQUE
Tél. : 0596 63 28 03 · Fax : 0596 71 48 43 · E-mail : raynal-sarcus@amep.fr

Le Centhor · 1 route de l’Éperon · BP 6 · 97435 SAINT-GILLES-LES-HAUTS · LA RÉUNION
Tél. : 0262 22 85 00 · Fax : 0262 22 93 85 · E-mail : df.centhor@reunion.cci.fr

LP de Kaweni-Mamoudzou · Kaweni · BP 205 · 97600 MAMOUDZOU · MAYOTTE
Tél. : 0269 61 09 76 · Fax : 0269 62 16 68 · E-mail : lp.hotelier.kaweni@wanadoo.fr

LP Melkior Garré · Route de Montabo · BP 5017 · 97305 CAYENNE CEDEX
Tél. : 05 94 29 78 20· Fax : 05 94 29 78 45 · E-mail : sylvie.todzzi@wanadoo.fr

Lycée polyvalent des Iles du Nord · Route de Spring · 97150 SAINT-MARTIN
Tél. : 05 90 87 12 36· Fax : 05 90 87 77 74
E-mail : ce.9710981p@ac-guadeloupe.fr ·

GRETA Centre Est · Avenue André Aron · 97300 CAYENNE
Tél. : 05 94 35 11 68· Fax : 05 94 37 87 53 · E-mail : gretacentreestguyane@wanadoo.fr

CFA de Cayenne · 41 za de la Chambre des métiers · 97300 CAYENNE
Tél. : 05 94 29 95 95· Fax : 05 94 29 15 58 · E-mail : cfa.guyane@wanadoo.fr

IRHT - CCI de Basse Terre · rue Gratien Parize · 97120 SAINT-CLAUDETél. : 05 90 80 39 70· Fax : 05 90 80 30 50 · E-mail : irht@wanadoo.fr

Bientôt un Eco Gite en Martinique ?

Un projet courageux est en train de naître en Martinique.
Il s'agit de 8 bungalows en bois dans le style de maison créole, ouverts sur le paysage, avec une installation de panneaux solaires, récupération de l'eau de pluie, recyclage des déchets verts, pompe solaire pour la piscine, etc.
Porté par Michel Lambert, handicapé suite à un accident de rugby et qui a décidé d'aller au bout de ses rêves, il sera le premier gîte écologique de la Martinique.
Un grand coup de chapeau, et tous nos encouragements pour la construction. Voir son blog ici : http://milamb.skyrock.com

Label Eco Tourisme pour un Gîte en Guadeloupe

C’est à Trois-Rivières, au lieu-dit le Faubourg, en suivant une allée de Ylang-Ylang, offrant une vue exceptionnelle sur la mer et l’archipel des Saintes, que vous découvrirez cet ensemble de petites cases créoles colorées. Nichées dans un écrin de verdure et construites en bois dans le respect de l’architecture créole, elles offrent convivialité et confort aux amateurs de détente et bien-être en pleine nature.
L’accueil personnalisé et chaleureux réservé par Mi-Marie se mêle avec douceur et harmonie aux senteurs d’Ylang-Ylang et à la sérénité des lieux. Passionnée par la culture locale et le patrimoine naturel, c’est une découverte intime de la Guadeloupe qu’elle vous propose. A votre arrivée, fruits frais et planteur de bienvenue vous attendent ! Ces gîtes ont été conçus dans le respect de l’environnement et de l’architecture traditionnelle créole.
Le bois a été privilégié dans la construction et les gîtes sont équipés de chauffe-eau solaires, ainsi que de lampes à basse consommation. La ventilation y est naturelle, favorisée par les alizés et un environnement végétal. Les équipements à effets négatifs sur l’environnement ont été limités et les gîtes bénéficient du label Ecodom.
Mi-Marie œuvre au quotidien pour la préservation et la valorisation des patrimoines. Ses produits sont majoritairement issus du terroir guadeloupéen ( potager biologique, cuisine créole, miel, confitures…), et elle implique les prestataires locaux et son voisinage dans sa démarche. Sa mobilisation en faveur de l’environnement et ses connaissances du patrimoine naturel et culturel local lui ont valu l’obtention du Label de la « Marque de confiance du Parc national de la Guadeloupe », (Palme d’Or 2006), gage de son implication dans l’écotourisme.
Membre active de l'association « Guadeloupe Autrement », elle n’hésite pas à s’investir personnellement dans des actions de valorisation patrimoniale et dans des opérations de protection environnementale (suivi des tortues marines, participation à la campagne de conservation des espèces végétales endémiques ou en voie de disparition....). http://www.tikaz-la.com/

L'éco Tourisme à la Réunion

Au sein du jardin tropical d’une authentique case créole centenaire restaurée traditionnellement, se nichent quatre bungalows en bois soigneusement meublés et décorés, cachés sous la végétation et agrémentés d'une piscine.
Cet ensemble de bungalows est idéalement situé sur la côte sud-ouest de la Réunion, dans une zone agricole, à 2 km du village. De nombreuses espèces endémiques peuplent le jardin du gîte. Les logements en bois exotique sont confortables, avec des lits en 160 équipés de moustiquaires et de matelas grand confort "spécial dos sensibles". Les chambres disposent toutes d’un climatiseur.
L'engagement pour la planète:

Les propriétaires ont à cœur d’aider au développement écotouristique de l’île. · Promouvoir le Parc Naturel Régional et aider à la protection de la Montagne, de la Nature, et de la Réunion· Promouvoir la Réserve Marine Naturelle et aider à la protection du lagon · Installation d’appareils économes ou faisant appel aux énergies renouvelables· tous les chauffe-eau électriques ont été remplacés par des chauffe-eau solaires· achat d’appareils électriques « classe A » ou économes en énergie. · installation de plaques de cuisson et fours à gaz plutôt qu’électriques. · installation d’ampoules basses consommation. · timers sur les climatiseurs, afin de ne permettre leur utilisation que pour les heures de sommeil en saison chaude. · sensibilisation des voyageurs sur la gestion de leur consommation électrique en privilégiant la ventilation à la climatisation, en veillant à utiliser celle-ci à bon escient, en ne laissant pas les appareils électriques en veille· contribuer à garder la Réunion propre en sensibilisant les voyageurs au tri des déchets, aux effets néfastes des détergents…· Promouvoir le commerce local et diminuer ainsi les émissions de gaz à effet de serre.
http://www.baobabetpalmiers.com/

L'interdiction de faire des ventes forcées

L'hôtelier peut-il vous imposer :
Le petit-déjeuner ou la demi-pension (nuit + 1 repas) ?
Non. Les tribunaux considèrent que cette pratique constitue une subordination de vente (art. L 122.1 du Code de la consommation) (cf. T P de Paris - 2 juillet 1993) sanctionnée par une contravention de 5ème classe (1500 €).

Mon petit déjeuner, ma demi-pension :
Hors de question de vous forcer à prendre vos repas à l'hôtel ! Une telle pratique est abusive et illégale, puisqu'elle est considérée comme une vente liée, interdite par la loi.
De même, il n'est pas question de vous faire payer un petit déjeuner que vous n'avez pas demandé.

Qu'en étant un hôtel classé, vous devez être en mesure de proposer des chambres "sèches", sans petit-déjeuner et sans demi-pension.

Sinon, cela s'appelle de la vente forcée : vous obligez vos clients à acheter d'autres prestations que la chambre, alors qu'ils ne peuvent ne vouloir que la chambre qui est la prestation de base d'un hôtel classé. D'accord, les usages font que... mais votre client pointilleux va vite fait vous dénoncer et il trouvera un juge qui lui donnera raison.

mardi 19 février 2008

CYCLONE IVAN DES CENTAINES DE SINISTRES


Le bilan officiel du passage du cyclone Ivan se fait attendre. Jusqu'à 19h hier, seuls deux morts sont connus dans le district de Fénérive-Est.

Plus de 700 sans-abri sont enregistrés à Toamasina I, Andilamena et Mahajanga I selon les informations émanant du bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC).Plus de 500 sinistrés sont, par contre, recensés à Andasibe I et Mandritsara.

Aucun rapport officiel n'a été reçu sur Sainte-Marie. Des informations émanant de sources officieuses nous ont confirmé hier que les neuf personnes qui se trouvaient sous les décombres de l'hôtel Antsara seraient mortes.À court de vivres

Un opérateur connu de cette île nous rapporte : « J'ai pu joindre Sainte-Marie par le BLU disponible sur notre bâteau. » Les employés du bâteau ont ajouté que deux autres personnes ont décédé à Sainte-Marie.« La population est à court de vivres, et n'a ni eau ni électricité depuis 24 heures. Le port a disparu avec tous les bateaux qui y ont mouillé », informe encore notre source, en ajoutant que la ville est débordée par la montée des eaux.

« Aussi, les hôtels qui longent la plage sont tous détruits », déplore-t-il. Deux digues sont rompus. Les routes sont coupées à cause des arbres qui jonchent les rues. Hier, l'équipe du BNGRC n'a pu confirmer ces données, même si une équipe a été dépêchée sur place pour une évaluation par hélicoptère.

Une réunion d'urgence a convié hier les ministres du gouvernement, réunion dirigée par le premier ministre Charles Rabemananjara au ministère de l'Intérieur à Anosy. Il y a été dit que l'organisation des secours s'avère difficile dans les districts qui restent injoignables. « Tout le monde dans chaque district doit se donner la main, pour accélérer les secours actuellement », souligne le premier ministre.

Le secrétaire exécutif du BNGRC présent à cette réunion a aussi rappelé que les stocks prépositionnés sont encore disponibles dans ces localités affectées.

lundi 18 février 2008

CYCLONE IVAN A SAINTE MARIE


Le cyclone Ivan laisse de mauvais souvenirs dans la ville de Sainte-Marie. Il est entré à 6 heures du matin dans la ville avec des rafales de vent de 137km/h détruisant plusieurs bâtiments. L'hôtel Antsara dans le quartier d'Ankirihiry dans la baie d'Antsarahaka s'est effondré. Neuf personnes s'y trouvaient ensevelies sous les décombres.

Un appel de détresse de l'une des victimes à son père habitant à Antananarivo a alerté l'homme en question.«Vers 8h30, ma fille m'a appelé pour me dire qu'elle se trouvait avec neuf personnes sous les décombres de l'hôtel, sans plus de détails», souligne le père contacté par téléphone.Selon lui, il a essayé de rappeler sa fille et de contacter toutes ses connaissances à Sainte-Marie sans résultat. Hier, les réseaux téléphoniques d'Orange et de Celtel étaient coupés.

Les habitants de Sainte-Marie ont été, soudainement, coupés de toute communication avec l'extérieur. L'équipe du Bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC) a eu aussi du mal à se mettre en contact avec les autorités locales.Hier soir, le père de la victime ignorait tout du sort de sa fille.

Il ne savait pas si des secours lui étaient parvenus ou pas. Les dégâts ne s'arrêtent pas là car le rapport officiel reçu auprès du BNGRC avance un lourd bilan. Plusieurs maisons sont touchées et de nombreux arbres se sont abattus dans toute la ville. Avec toutes les routes coupées, les habitants et les engins ont du mal à circuler car la mer commence à atteindre les routes bitumées. Selon le BNGRC, il était difficile de recevoir de plus amples informations provenant de Sainte-Marie car la radio BLU était aussi en panne.Lourd bilan dans l'axe est Le cyclone Ivan a fait d'autres victimes dans toute l'île.

Comme dans le quartier d'Ambatoroka dans la capitale, un couple, dont la femme est enceinte, a été blessé et a été transféré d'urgence à l'hôpital d'Ampefiloha. Il était enseveli sous les décombres d'un mur de soutènement qui s'est écroulé suite aux pluies diluviennes.

Le couple a, heureusement, survécu malgré quelques blessures.Après Sainte-Marie, le cyclone Ivan est passé dans la commune d'Ampasimbe, district de Fénérive-Est à 9 heures, puis dans le district de Vavantenina à midi avec des vents de 137km/h. Il s'est trouvé à 15h dans le district d'Andilamena où il a causé aussi d'énormes dégâts matériels. Comme la destruction du bureau du médecin-chef, d'une école primaire publique et de la tribune du stade de football sans parler de la détérioration des poteaux de la Jirama.

Les régions d'Alaotra Mangoro, d'Atsinana et d'Analanjirofo sont les plus touchées.Robinson David Alexandre, chef de région d'Alaotra Mangoro avance 480 sinistrés qui sont recensés dans le district d'Andasibe suite à la montée des eaux. La ville de Toamasina I aussi n'a pas été épargnée par le passage d'Ivan.

Outre la coupure de certaines ruelles, la population est isolée faute de communication téléphonique. Aussi, l'eau et l'électricité de la Jirama sont coupées. En même temps, aucune liaison terrestre n'a été possible sur la RN2 car tout déplacement de taxis-brousse a été annulé, hier.Le rapport officiel du BNGRC avance 60 sans-abri dans le district de Toamasina I. Ils ont pu être hébergés dans le bâtiment Soavita.

En même temps, l'équipe de l'Unicef et du BNGRC intervient pour les secours d'urgence. Onze militaires du corps de la protection civile y ont été dépêchés, hier, pour débloquer les passages routiers de l'axe Est.

Fanja Saholiarisoa

Ivan fait 9 morts à Sainte Marie

La localité de Fénérive Est et l’île Sainte Marie ont été les premières localités à avoir affronté le cyclone Ivan. Dès hier, en milieu de journée, des échos sur l’intensité de ce cyclone ont été rapportés. Sainte Marie a ainsi été sérieusement sécouée.
On rapporte même le cas d’un hôtel qui s’est écroulée. Bilan 9 morts.
Ivan a touché terre hier, au niveau de Fénérive Est, a traversé les villes de Vavatenina, d’Andilamena, Amparafaravola et se trouvait hier, à 18h, à Tsaratanàna.

jeudi 14 février 2008

Aide à l'emploi dans le secteur des hôtels, cafés et restaurants



La loi du 9 août 2004 pour le soutien à la consommation et à l'investissement a créé un dispositif temporaire d'aide financière en faveur des employeurs pour l'emploi des personnels des hôtels, cafés et restaurants applicable aux périodes d'emploi effectuées du 1er juillet 2004 au 31 décembre 2007 dans l'attente d'une baisse effective de la TVA pour ce secteur. Cette aide est pérénisée depuis le 1er janvier 2008.

Loi de finances pour 2008 du 19 décembre 2007, JO du 21. Décret n° 2007-900 du 15 mai 2007, JO du 16. Décret n° 2007-681 du 3 mai 2007, JO du 5. Loi de finances pour 2007 du 21 décembre 2006, JO du 27. Décret n° 2006-706 du 19 juin 2006, JO du 20. Loi de finances pour 2006. Loi n° 2004-804 du 9 août 2004 relative au soutien à la consommation et à l'investissement (art. 10), JO du 11. Décret n° 2004-1239 du 22 novembre 2004 relatif au dispositif d'aide au secteur de l'hôtellerie et de la restauration, JO du 23.
La loi du 9 août 2004 pour le soutien à la consommation et à l'investissement a créé un dispositif temporaire d'aide financière en faveur des employeurs pour l'emploi des personnels des hôtels, cafés et restaurants applicable aux périodes d'emploi effectuées du 1er juillet 2004 au 31 décembre 2007 dans l'attente d'une baisse effective de la TVA pour ce secteur. Cette aide est pérénisée depuis le 1er janvier 2008.

Employeurs concernés

Peuvent ainsi bénéficier de l'aide à l'emploi les entreprises dont l'activité principale correspond aux codes NAF suivants : 55.1A ( hôtels touristiques avec restaurant), 55.1C (hôtels touristiques sans restaurant), 55.1E (autres hôtels), 55.2A (auberges de jeunesse et refuges), 55.2C (exploitation de terrains de camping), 55.2E (autres hébergements touristiques), 55.3A (restauration de type traditionnel), 55.3B (restauration de type rapide), 55.4A (cafés tabac), 55.4B (débits de boissons), 55.4C (discothèques) et 55.5D (traiteurs, organisations de réception), ainsi que les employeurs des bowlings et des casinos.

Sont exclues les entreprises de restauration collective.

Attention : les employeurs doivent être à jour du paiement de leurs cotisations et contributions sociales.

Aide à l'emploi

Depuis le 1er janvier 2007, le bénéfice de cette aide financière est attribué à l'emploi des salariés dont la rémunération est soit comprise entre le SMIC et 1,03 fois le SMIC, soit supérieure à 1,03 fois le SMIC (et non au Smic hôtelier, Smic duquel est déduit l'avantage nourriture pour la moitié des repas). Cette aide est toutefois limitée à l'emploi de 30 salariés équivalents temps plein. Montant de l'aide du 1er janvier au 31 décembre 2007 • Pour les salariés employés à temps plein dans la restauration traditionnelle (NAF 553A) dont le salaire horaire, hors avantage en nature nourriture, est égal au Smic ou à 1,03 fois le SMIC au maximum, et à condition que la déduction de l'avantage nourriture ne soit pas appliquée, le montant mensuel forfaitaire de l'aide est de 180 € au lieu de 114,40 € auparavant ;

• Pour les salariés employés à temps plein dans les hôtels-restaurants (NAF 551A), les cafés-tabacs (NAF 554 A) ou les débits de boissons (NAF 554 B) dont le salaire horaire, hors avantage en nature nourriture, est supérieur à 1,03 fois le SMIC, le montant mensuel de l'aide est de 90 €, au lieu de 57,20 € auparavant.

• Dans les autres secteurs, l'aide est maintenue à 114,40 € par mois pour les salariés employés à temps plein dont la rémunération est inférieure ou égale à 1,03 fois le SMIC, et pour les salariés employés à temps plein dont la rémunération est supérieure à 1,03 fois le SMIC, le montant mensuel de l'aide reste fixé à 143 €, multipliés par un coefficient déterminé en fonction du code NAF de l'entreprise et de la date de création de celle-ci (voir tableau ci-dessous).

• En cas de mois incomplets ou de travail à temps partiel, le montant de l'aide forfaitaire est proratisé en divisant le nombre d'heures rémunérées au cours du mois civil (hors heures complémentaires et supplémentaires) par la durée équivalente à la durée légale de travail ou la durée collective conventionnelle de travail si elle est inférieure (la durée mensuelle de travail prise en compte pour ce calcul ne peut être inférieure à 151,67 heures).

Versement de l'aide

L'aide financière de l'État est versée par les Assedic à l'employeur tous les trimestres civils dans les 10 premiers jours du 2e mois qui suit le trimestre travaillé.

Formalités

La demande du bénéfice de l'aide à l'emploi ainsi que les éléments nécessaires pour déterminer le coefficient applicable doivent être déposés auprès des Assedic dans les 3 mois qui suivent le trimestre pour lequel l'aide est sollicitée.

Par ailleurs, chaque trimestre, l'employeur doit transmettre aux Assedic un formulaire permettant d'actualiser le calcul de l'aide ainsi que les copies de bulletins de salaire (ou celle du décompte Urssaf en cas de titre emploi entreprise) des salariés y ouvrant droit.

Important : pour donner lieu à paiement, les formulaires d'actualisation relatifs aux trimestres postérieurs au 1er janvier 2006 devront être déposés par l'employeur auprès des Assedic au plus tard le 30 septembre 2007.

Aide à l'emploi d'extras

La loi de finances pour 2007 a institué une nouvelle aide au bénéfice de certaines entreprises du secteur des hôtels, cafés, restaurants (autres que celles du secteur de la restauration collective) pour l'emploi de salariés occasionnels, couramment appelés " extras ". Les modalités de cette aide ont été précisées par un décret du 3 mai 2007.

Important : l'aide ne concerne toutefois que les entreprises employant 20 salariés au plus (tous établissements confondus).

Cette aide est octroyée pour les périodes d'emploi comprises entre le 27 décembre 2006 et le 31 décembre 2009.

Elle concerne l'embauche de salariés en contrat à durée déterminée inférieure ou égale à 2 jours et dont l'emploi est déclaré au moyen d'un titre emploi-entreprise. Chaque entreprise reçoit alors 1,50 euros par heure de travail, dans la limite de 540 euros par année civile.

En pratique :

la demande d'aide doit être déposée au plus tard le 30 juin 2010 auprès du Centre national pour l'aménagement des structures des exploitations agricoles (Cnasea).

Travaux de grande ampleur chez le Groupe Naïade à la Réunion


Les Villas du Lagon, hôtel 4 étoiles du Groupe Naîade à la Réunion va subir un important lifting dès le mois de mai.

Une enveloppe de trois millions d'Euros est prévue pour que cet établissement soit mis aux normes exigées par le Groupe et qu'il devienne un véritable 4**** comme le conçoit la Direction Générale du Groupe.

Les Hôtels du Groupe Naîade à l'île Maurice qui allient luxe,volupté et services exceptionnels recoivent une clientèle haut de gamme qui, dans une politique d'incitation aux voyages entre les îles soeurs, doit correspondre aux exigences de celles ci.

Aujourd'hui, Naïade juge, à juste raison, que Les Villas du Lagon ne correspondent pas à ces exigences. Il convient donc de remettre à niveau l'établissement si l'on veut attirer une clientèle haut de gamme.
Nouveaux espaces dans les chambres, création d'un SPA , création d'un vrai restaurant gastronomique, formation du personnel, démarche Qualité et bien entendu mises aux normes des installations globales sont prévus.

Un énorme chantier auquel s'est attaché avec passion et savoir faire le Directeur Général de l'Etablissement, Philippe Arnaud et toute son équipe.


Le malaise s’aggrave chez Accor Maroc


Depuis la fin de l’année dernière, période où l’état-major d'Accor a installé un nouveau mode de gouvernance - sans concertation réussie avec les cadres - le malaise continue à s’installer en s’aggravant notablement.

Désormais, on peut parler d’une vraie crise de confiance qui marque les rapports entre le management de Accor, notamment ceux expatriés, et les cadres marocains qui ont tout donné à cette enseigne. Les pionniers de l’installation d’Accor au Maroc semblent les plus visés par des menées dites stratégiques de l’hôtelier français qui cachent mal, en vérité, des règlements de compte plus terre à terre.

Marc Thépot, le patron d’Accor Maroc, un professionnel aguerri, qui jouissait jusqu’à présent de la confiance de tous et dirigeait les intérêts du groupe dans son ensemble voit son périmètre de compétence rogné par un «expat» Jacques Lecouls. Ce dernier moins friand de considérations exotiques locales et moins conscient, sur le fond, des enjeux politiques liés à l’installation d’Accor au Maroc, suit une feuille de route rigide et conflictuelle.

Marc Thépot, lui-même, voit son énergie plus absorbée par la défense de ses propres positions personnelles que par la défense des intérêts collectifs de l’équipe qui lui a fait confiance. Personne n’est parfait et la démarche est somme toute naturelle. La nouvelle stratégie d’Accor consiste à vendre à la découpe la marque Sofitel et, en passant, se débarrasser de son encadrement actuel.

La stratégie serait légitime si les droits des cadres marocains étaient sauvegardés et les sacrifices qu’ils sont consentis en 10 ans étaient reconnus. De 1997 à 2007 le groupe Accor a bénéficié de la part de l’Etat marocain de libéralités «extraordinaires» dont aucun groupe concurrent n’a bénéficié au Maroc.

Tout cela a pu se faire car la parole du président Gérard Pélisson était engagée au plus haut sommet de l’Etat marocain. La diminution de l’influence du président Pelisson au sein d’Accor se traduit notamment au Maroc par un «ramollissement» des engagements de ce groupe vis-à-vis de ses partenaires institutionnels, une exacerbation de ces appétits financiers, fonciers et commerciaux qui ne sont plus justifiés et un mépris avéré des cadres marocains qui ont produit toute la valeur ajoutée que ce groupe revendique aujourd’hui.

lundi 11 février 2008

Nous avons recu ce message d'un touriste séjournant en Guadeloupe

Nous séjournions au Manganao à St François, et à partir du 29 janvier une grève a débuté: plus de service, plus de ménage, rien.Ce sont les animateurs qui se sont substitués aux grévistes, alors que ce n'est pas leur job, en principe. Nous avons dû écourter notre séjour, car Nouvelles Frontières n'a pas voulu se poser de question et essayer de nous reloger ailleurs sur l'Ile. C'est dommage.
Nous étions environ 500 à être obligés de rentrer de force en métropole et je pense que peu reviendront en Guadeloupe.
Nous regrettons le comportement et du Tour Opérateur, qui n'a pas été en mesure de gérer cette crise, et des syndicats qui obligent certains salariés à faire grève par solidarité, faute de quoi..... Votre Ile est merveilleuse, mais quel gâchis. L'année prochaine, ce sera en effet de nouveau la République Dominicaine ou Cuba : là pas de souci.
Les plages sont à la fois très belles, et il est peu possible que nous soyions confrontés au problème que nous venons de connaître.
Des vacances d'hiver cela se prépare longtemps d'avance et on ne peut pas les reprendre une fois la grève terminée. Maintenant qui va nous rembourser de notre préjudice ?

Le groupe Accor veut aborder 2008 avec optimisme


Tahitipresse) - Le Sofitel Tahiti Resort, l'une des unités du groupe Accor en Polynésie française, a accueilli, mercredi soir, les professionnels du tourisme. Une soirée qui a été l'occasion de célébrer le début d'année 2008 et d'évoquer les projets de la chaîne Sofitel.Représentants d'agence de voyage et responsables du GIE Tahiti Tourisme étaient présents pour cette soirée qui se voulait avant tout conviviale.

Mais après une année 2007 plus que mitigée (218 000 touristes seulement sur l'année), avec notamment des baisses inquiétantes enregistrées sur le marché nord-américain, le premier semestre 2008 s'annonce également difficile, pour tous les professionnels du tourisme oeuvrant en Polynésie.

Si la conjoncture internationale n'est guère porteuse, et si la concurrence accrue de destinations mettant en avant les mêmes atouts que Tahiti et ses îles est bien présente, le groupe Accor veut rebondir en abordant avec optimisme, et avec des projets, l'année 2008.La tendance, au niveau mondial, va être de "promouvoir la marque au tout premier rang du marché de l'hôtellerie internationale de luxe", souligne ainsi Sofitel dans un communiqué

dimanche 10 février 2008

mardi 5 février 2008

ServhotelGroup se présente.....


Cette société dont la vocation principale est de porter assistance aux Entreprises Touristiques de toute nature, est basée à l’île de la Réunion et anime également un réseau d’intervenants en Guadeloupe afin de couvrir les Antilles Françaises et à l’île Maurice dont le potentiel hôtelier est très important.

Plusieurs Marques, présentes également sur Internet, sont rattachées à ServhotelGroup, afin de couvrir l’ensemble des besoins des Entreprises Touristiques et répondre au mieux aux attentes des Acteurs du Tourisme :

Servhotels : Portail du Tourisme en Outre Mer ;

C’est l’outil de communication privilégié des Hôteliers et Restaurateurs afin d’être visibles dans le monde entier, grâce aux référencements et à la création de sites Internet. Créé en 1999, cet outil commercial est visité chaque jour, en moyenne,par 600 internautes à la recherche de renseignements concernant nos régions.

Jobhotels : L’emploi en Hôtellerie et en restauration ;

C’est le lien permanent entre les candidats et les recruteurs en Hôtellerie, Restauration et Tourisme. Dès qu’une demande d’emploi intéressante nous parvient, elle est diffusée sur l’ensemble du réseau, tout comme les offres que vous pouvez y déposer gratuitement. Créé en 2001, il reste une référence en tant que site de l’emploi pour l’Outre Mer.

Asforad : La Formation en Hôtellerie et en Restauration ;

Grâce à sa plateforme de formations ouvertes et à distance ( FOAD), ASFORAD permet aux collaborateurs de votre Entreprise, sans s’absenter de l’exploitation, de suivre des formations qualifiantes afin de pouvoir évoluer de façon permanente et consolider les compétences qu’ils pourront vous offrir.
Des formations classiques sont également dispensées sur le lieu de travail et le suivi des formations à distance permet une remise à niveau continue des connaissances acquises.
Créé en 2004, initialement aux Antilles, ASFORAD est reconnu des Organismes de Financement et le bénéfice d’Aides Publiques auprès des Fonds de Formation Professionnelle et de la Promotion Sociale, du Fonds pour l’Emploi et du Fonds d’Actions Sociales qui peut être cumulé avec les Aides de l’Etat et de la Région, pouvant financer les équipements si le créneau de Formations est jugé prioritaire.

Jurishotels : La Législation des Hôtels et Résidences de Tourisme ;

Devenu dès sa création en 2006, une référence Juridique pour les Hôteliers et Restaurateurs d’Outre Mer, ce site animé par des spécialistes du Droit du Travail et des Conventions Collectives en application dans les DOMTOM, vous accompagne afin de vous aider à mieux comprendre vos droits et ceux de vos collaborateurs. De nombreux dossiers thématiques sont à votre disposition ainsi que les documents indispensables à la gestion administrative de votre établissement.
Les jurisprudences concernant le Droit du Travail, la Sécurité, l’Hygiène, ainsi que les textes concernant la Démarche Qualité, l’Environnement mais aussi les Relations avec les administrations sont très régulièrement mis à jour afin de vous aider à mieux appréhender l’évolution permanente de la Législation.

Fimadom : La Maîtrise de votre Entreprise ;

Une équipe de Consultants reconnus est à votre disposition pour vous aider à maîtriser tous les aspects de la Gestion et des Finances de votre Etablissement.
Plusieurs cellules de travail, chacune gérée par un Consultant qui vous est dédié, couvrent l’ensemble de vos besoins en Gestion et Optimisation des coûts sociaux, Gestion et Optimisation des coûts financiers, Mise en Valeur et Management de votre Entreprise, mais également nous accompagnons les Créateurs d’Entreprises ou nous cherchons les subventions publiques et financements privés pour vous aider à réaliser vos travaux, comme nous sommes également disponibles pour recouvrer, à l’amiable, vos créances impayées.