Les Vidéos de la Chaine Voyages

dimanche 30 décembre 2007

Laico Hotels & Resorts, nouvelle enseigne hôtelière , va prendre en gestion plusieurs établissements en Afrique


Trois hôtels africains changeront d’enseigne, dès ce 1er janvier 2008, pour arborer celle de la nouvelle chaîne hôtelière internationale Laico Hotels & Resorts. Il s’agit en l’occurrence du «Méridien Maya Maya» à Brazzaville, du «Kempinski El Farouk» à Bamako et de l’«Intercontinental Oukoumé Palace» de Libreville.

«Au total, précise M. Laajili, 22 unités hôtelières, propriété de Laico, se répartissent sur 15 pays, à savoir la Tunisie, l’Afrique du Sud, la Tanzanie, l’Ouganda, le Rwanda, le Gabon, le Congo, le Burkina Faso, le Tchad, la République Centrafricaine, le Ghana, la Gambie, la Guinée, le Mali et le Togo. Leur gestion avait été confiée à nombre de chaînes hôtelières (Sofitel, Le Méridien, Intercontinental, Kempinski, etc.)

Des équipes managériales internationales spécialisées sont d’ores et déjà déployées au siège et dans les unités, pour hisser la nouvelle chaîne Laico à des standards élevés. Elles ont surtout pour mission de traduire au mieux, par le perfectionnement, le réaménagement et la mise en place de nouveaux dispositifs performants, les valeurs d’hospitalité, d’attention personnalisée, de gastronomie raffinée et de confort faites siennes par l’enseigne».

samedi 22 décembre 2007

Maurice a commis l’erreur de ne pas faire suivre son développement par une augmentation importante de ses capacités de captage et de stockage d’eau.


«Nous avons investi Rs 38 millions pour avoir une unité de dessalement d’une capacité de 800 000 litres d’eau par jour pour alimenter les hôtels «Le Paradis» et «Dinarobin» au Morne», indique Mathieu Rivet, ingénieur du groupe Beachcomber.

Ces deux hôtels ne consomment pas beaucoup plus de 800 000 litres d’eau par jour. Ils achètent, en fait, 500 000 litres d’eau chaque jour de la CWA. Ces derniers temps, l’eau de cet organisme s’est faite de plus en plus rare au Morne et les deux hôtels du groupe ont dû avoir recours à l’eau que vendent certains particuliers dans des camions-citernes. Une eau qui coûte beaucoup plus cher et dont la provenance est toujours inconnue. Beachcomber n’a pas voulu se passer entièrement de l’eau de la CWA. Histoire de ne pas mettre tous les oeufs dans un même panier. «On ne sait jamais. En cas de panne de l’unité de dessalement, il faut que nous ayons une source alternative», explique l’ingénieur Mathieu Rivet.

Tel n’est pas le cas du groupe Naïade. En effet, pionnier dans le secteur du dessalement de l’eau de mer à Maurice, ce groupe a installé une première unité à l’hôtel «Les Pavillons» en 2005. Cet hôtel est autosuffisant en eau potable depuis cette date.

Le «Tamassa», nouvellement construit à Bel Ombre, est également doté d’une unité de dessalement d’eau de mer. «Nous comptons doter bientôt tous nos six hôtels d’une unité de dessalement d’eau de mer. Ils seront tous autosuffisants.» En sus de l’utilisation de l’eau dessalée, les hôtels ont normalement recours à l’eau qu’ils sont obligés de retraiter pour les besoins d’irrigation.

Un acteur majeur du tourisme réunionnais


AUJOURD’hui, l’association des Gîtes de France de l’Île de La Réunion compte 150 adhérents, ce qui représente des familles, des agriculteurs, des artisans ou des ruraux qui ouvrent 421 portes et offrent 1.158 lits aux vacanciers en quête d’un tourisme particulier, avec des séjours exceptionnels de rencontres avec la nature, au plus près des traditions créoles.

C’est le pari de ce tourisme rural d’apporter aux vacanciers des séjours originaux. Si ce secteur a été victime, comme beaucoup, de l’épidémie du chikungunya, faute de vacanciers, mais aussi parce que les propriétaires étaient eux-mêmes victimes, actuellement, il est en train de repartir avec les réservations pour les prochains mois qui arrivent.La particularité de cette offre est d’être d’abord diverse et authentique, basée sur la tradition créole.

C’est ce qu’a tenu à souligner Jean Balandras, le Secrétaire général pour les Affaires régionales à la Préfecture de La Réunion, « cette créolité est nécessaire... le tourisme rural est un acteur majeur du rebond touristique attendu en 2008 ».

jeudi 20 décembre 2007

Code du tourisme - Edition 2008

744 pages - Parution : 11/2007 - Prix 69 Euros - Disponible sous 48 heures -




Peut être commandé directement en cliquant sur l'image




Présentation par l'éditeur:


Le Code du tourisme rassemble l'ensemble du droit applicable à l'organisation générale du tourisme ; aux activités et professions du tourisme ; aux équipements et aménagements ; enfin au financement de l'accès aux vacances et à la fiscalité du tourisme. Le Code du tourisme Dalloz est enrichi de commentaires explicatifs qui permettent de comprendre et maîtriser, article par article, une matière juridique complexe.
D'importantes notes de jurisprudence sont rapportées sous les dispositions qu'elles appliquent. L'ouvrage est augmenté d'un appendice réunissant la réglementation applicable aux casinos.
Cette deuxième édition est à jour notamment : • du décret du 13 décembre 2006 et de l'arrêté du 14 mai 2007 relatifs aux casinos ; • du décret du 29 janvier 2007 sur les chèques-vacances et de ses arrêtés d'application ; • du décret du 23 mars 2007 sur les refuges de montagne ; • du décret du 15 mai 2007 sur la sécurité remontées mécaniques ; • du décret du 3 août 2007 sur les chambres d'hôtes du décret du 14 septembre 2007 relatif au titre de maître-restaurateur et de ses arrêtés d'application, produits en Addendum à la fin de l'ouvrage. Un outil juridique complet aux professionnels du tourisme.

Réouverture de l’hôtel Fort Royal


Publié le 19/12/2007 Auteur: David Lenoir


Fermé depuis 6 ans, l’hôtel Fort Royal de Deshaies (nord de la Basse-Terre) a rouvert ses portes mercredi 19. Repris en gérance par le groupe suédois Langley, l’établissement a subi une importante cure de jouvence. Les premiers clients sont arrivés en provenance de Stockholm (Suède), sur un vol direct affrété par Air Caraïbes.

Six ans après sa fermeture, avec l’aide de la Région Guadeloupe, propriétaire des lieux depuis 1995, le groupe suédois de tourisme Langley Travel a consacré 18 millions d’euros à la rénovation de Fort Royal (200 chambres).

Le groupe s'est engagé à exploiter l'hôtel 42 semaines par an. Il affrétera un charter hebdomadaire depuis Stockholm. La première rotation a été effectuée mercredi 19 par un des Airbus A330-300 d’Air Caraïbes (372 sièges). Un mercredi sur deux les départs s’effectueront de Copenhague (Danemark).

C’est une clientèle scandinave, moyenne et haut de gamme, fidélisée autour de formules vacances sportives et gastronomiques qui est visée. Au-delà de ces 42 semaines, la clientèle locale et hexagonale assurera le remplissage. Le groupe Langley, qui possède une douzaine d'hôtels en France (dans les Alpes et en Corse), a conclu un bail emphytéotique de 30 ans avec la Région Guadeloupe. Il ne pourra exercer son droit d’achat qu’à l’issue de la dixième année, à condition d'avoir utilisé le site sous forme d'hôtel pendant toute la période précédente. La collectivité exercera pendant les 10 ans qui suivent un droit de préemption pour éviter les spéculations immobilières sur ce site d’exception.

L’hôtel Fort Royal (ex-Club Med) a fermé ses portes en 2001. A cette époque, le VVF avait mis un terme à l’exploitation, ouvrant une grande période d’instabilité pour le secteur dans la zone. Accueil chaleureuxPour recevoir le premier vol en provenance de Stockholm, le Comité du tourisme des îles de Guadeloupe un accueil spécifique a été organisé avec mets locaux, cadeaux de bienvenue et documentation touristique.

A l’aéroport Guadeloupe Pôle Caraïbe, la chambre de commerce de Pointe-à-Pitre a organisé un pot de bienvenue avec un groupe de musiciens et des hôtesses en tenues traditionnelles en salle de livraison des bagages. Air Caraïbes devrait transporter 15 000 passagers issus des pays scandinaves.

mercredi 19 décembre 2007

Naïade n'exclut pas de sortir de l'Océan Indien


Le groupe mauricien compte doubler son parc hôtelier d'ici 2010.

L'hôtelier, qui vient d'inaugurer son nouveau resort quatre étoiles "Tamassa" à l'Ile Maurice, ouvrira une seconde adresse aux Maldives en mars prochain. "Diva" se positionnera en cinq étoiles luxe et viendra concurrencer les deux resorts One & Only. Le groupe voit encore plus loin et cherche déjà un autre site aux Maldives mais aussi aux Seychelles.

Il n'exclut pas non plus de sortir de l'Océan Indien et se dit "ouvert" à d'autres destinations : en Afrique, en Inde mais aussi et pourquoi pas, au Maghreb. L'objectif est de passer de 1.600 chambres aujourd'hui à 3.000 d'ici 2010 en saisissant les opportunités qui se présenteront sur le concept des resorts hôtels.


Céline Perronnet mardi 18 décembre 2007

Joyeuses Fêtes !


Bonjour,

Toute l'Equipe de ServhotelGroup vous souhaite de Joyeuses Fêtes.
Nous nous retrouverons le 07/01/2008, après quelques jours de repos.
Bien entendu, les sites restent accessibles à tous. Une veille juridique est mise en place et vous pouvez toujours utiliser le forum de Jurishotels.
Des réponses à vos éventuelles questions vous seront données sous 48 heures.
Une veille d'informations est également opérationnelle et le blog sera régulièrement mis à jour avec de nouvelles informations !
Merci à tous ceux qui ont soutenu nos actions au cours de cette année .
Nous renforcerons nos équipes en 2008, afin d'être encore plus proche de vous et pouvoir répondre à toutes vos attentes.

Bien cordialement

mardi 18 décembre 2007

Les professionnels de l'hôtellerie inquiets pour 2008


Faisant écho à la récente conférence de presse du ministère du tourisme, au cours de laquelle les perspectives pour le tourisme en Polynésie en 2008 ont été présentées, les professionnels de l'hôtellerie s'expriment à nouveau, dans un communiqué, sur ce sujet."La variété des activités de loisirs, des lieux de sorties nocturnes, des sites culturels et sportifs, des centres de shopping adaptés, est toujours très insuffisante et ne correspond plus aux attentes des clients. Aujourd'hui le rôle des politiciens est de valider des orientations claires et de soutenir les investisseurs et les professionnels dans leur projet de développement", indique ainsi le CPH (Conseil des professionnels de l'hôtellerie).

"Quelque soit aujourd'hui l'analyse de la situation, la stratégie marketing, même si elle doit évoluer, n'est pas la seule raison de l'échec de la destination ces dernières années (...) Le budget 2008 du GIE Tahiti Tourisme est inférieur au budget 2006. Pourtant les efforts sur les marchés émergeants ou en difficultés doivent être beaucoup plus soutenus compte tenu de la concurrence internationale accrue", ajoute le communiqué des hôteliers. Le CPH revient également sur le travail effectué, au cours de l'année 2007, pour établir un schéma directeur du tourisme. "Par ailleurs, les professionnels à l'initiative du ministère du tourisme (ndlr, de Maina Sage, à l'époque) ont travaillé pendant plusieurs mois à l'élaboration d'un schéma directeur, rassemblant des propositions d'actions pour les 5 prochaines années (...) Où sont les conclusions du schéma directeur? Quelles sont les orientations validées ? Quelles sont les enveloppes budgétaires futures pour se donner les moyens d'une politique touristique?", s'interroge ainsi le CPH.

“ILE DE LA RÉUNION TOURISME” : UN NOUVEAU DÉPART POUR LA FILIÈRE


L’Assemblée générale constitutive de l’association “Ile de La Réunion Tourisme”, qui s’est tenue hier après-midi à la Région Réunion, a été marquée par une adhésion unanime en faveur de la candidature de Pierre Vergès à sa présidence. Une unanimité qui n’a pas failli non plus pour l’élection des représentants du Conseil d’administration (35 membres) et du Bureau (13 membres).

Pour la première fois, la mise en place d’un Comité d’Orientation, rassemblant 10 corps de métiers, laissera la place à une concertation et une réflexion élargies avant toute validation de décision. Ce rapprochement entre professionnels et élus permettra en outre à ces derniers d’avoir une meilleure appréhension des problématiques inhérentes à la filière. « C’est important si l’on veut un saut qualitatif », estime Pierre Vergès.

« Aujourd’hui, si La Réunion doit gagner, c’est au-delà de sa biodiversité, avec ses êtres humains qui constituent un terreau original, un monde où chaque touriste pourrait retrouver une nouvelle famille chez qui il aura envie de revenir »

Le gouvernement envisageant l’organisation d’un “Oudinot du Tourisme”, l’opportunité est offerte aux parlementaires réunionnais de défendre les projets locaux portés par une union des acteurs et, peut-être, enfin, d’être entendus sur la question des visas, durable et important problème pour le tourisme local. Wilfrid Bertil, membre du Bureau au titre de la Région, précisera d’ailleurs qu’il est nécessaire aujourd’hui d’« intégrer le tourisme dans son environnement régional.

Il existe une zone Caraibes pour le tourisme, mais pas de l’Océan Indien. Il est important de s’inscrire dans des actions de coopération pour faire ressortir notre personnalité ».

Les professionnels ont obtenu le signal politique fort qu’ils attendaient, reste maintenant le plus dur : ne plus diluer l’image de la destination Réunion entre mer et montagne, mais bien lui permettre d’affirmer son identité. “La Réunion, un monde de cultures” ? C’est une piste qui, on le souhaite, redonnera un nouvel élan au tourisme local, placera La Réunion comme la destination de choix.


Stéphanie Longeras

Le « Tamassa » voit le jour !


Fusion du design et de l’émotion pour un nouveau quatre-étoiles. Situé à Bel-Ombre, le Tamassa est niché au bout d’une allée bordée de cocotiers, jouxtant des champs de cannes qui s’étirent jusqu’aux montagnes, tout cela dans un doux festival de couleurs.
Le dernier-né du groupe Naiade Resorts a été officiellement inauguré vendredi dernier. Conçu dans un décor lumineux, l’hôtel est doté de 118 chambres standard, de 72 chambres supérieures et de 24 de luxe, desquelles on peut assister aux couchers de soleil. Des lignes épurées et teintées d’éclat de rose, entrecoupées de vert ou de rouge orangé, ainsi que des grandes représentations florales, donnent de la pêche à l’établissement.
Au chapitre de la gastronomie, le Tamassa fera son Show ! Il s’agit là du nom du restaurant principal qui propose une cuisine japonaise, thaïlandaise, méditerranéenne et indienne. Des escales culinaires latines sont également à découvrir à La Playa et des cocktails exotiques sont à déguster au B Bar. Un spa a également été aménagé et des sports nautiques sont aussi prévus

vendredi 14 décembre 2007

Etoiles de l'accueil 2007


La remise du prix a eu lieu le 12 Décembre 2007 en présence du Ministre du Tourisme.

Ekokay établissement hôtelier du Nord de la Martinique a obtenu l'étoile de l'accueil .

Marie-Hélène et Jacques ont envie de vous offrir une convivialité reconnue et de créer avec le visiteur une relation de qualité. Vous les entendrez dire : " à EKOKAY, nous nous occupons de votre forme physique et mentale pour que vous repartiez justement en pleine forme ! "
Ici, dans le nord caraïbe martiniquais et à EKOKAY, une chose est naturelle, ralentir le temps, par notre environnement, par le choEkokay vous enchantera avec ses séjours verts dans l'autre Martinique, celle du nord, de la montagne, de l'eau, de la nature et de l'Histoire avec Saint-Pierre ancienne capitale martyr.

Le Comité du Tourisme des Îles de Guadeloupe a reçu également le 12 décembre le prix des Etoiles de l’accueil 2007 pour la qualité de sa campagne de sensibilisation locale intitulée « N’oubliez pas votre sac de plage ! ».

Ce prix vient récompenser l’initiative du Comité du Tourisme des Îles de Guadeloupe pour le lancement de sa campagne de sensibilisation auprès des vacanciers et de la population guadeloupéenne aux enjeux de l’environnement et de la préservation du milieu naturel. Cette campagne a permis d’entamer une réelle prise de conscience de la population et des touristes sur l’importance de préserver les sites naturels en les gardant propres.

Pour l'île de la Réunion, c'est Enis Rockel, guide Touristique et Interprète, auteur de nombreux ouvrages, qui a obtenu ce prix. Il oeuvre en permanence pour que les Touristes visitant son île repartent enchantés de leur séjour. Un site internet a été créé pour que tous les guides de la Réunion se retrouvent au sein d'une association :http://www.argat.net/test3/

jeudi 13 décembre 2007

Bienvenue en terre française


Dimanche matin, 9 heures 50, retour de l’ile Maurice à l’aéroport de Gillot . Avant d’accéder à ses bagages, le voyageur, d’où qu’il vienne, doit se soumettre au contrôle d’identité. Jusque là rien d’anormal, obligation formelle nécessaire. Ce jour-là, assis derrière son comptoir vitré, un contrôleur de police s’est montré parfaitement impoli et irrévérencieux à l’égard de deux femmes mauriciennes. L’uniforme conférerait-il aux agents de police des pouvoirs absolus qui leur autoriseraient à mépriser les règles élémentaires de la courtoisie et du respect ?

La plus jeune s’est vu refoulée sur le côté, en attente, car elle avait eu le malheur de raturer un papier. Cette mise à l’écart expéditive n’aura échappé à personne, sachant que le fonctionnaire a usé d’un ton ferme et directif, sans demi-mesure ni tamis de voix. La jeune femme s’est exécutée, tête basse, à l’évidence et c’est bien compréhensible gênée d’un tel traitement.
Derrière elle, sa grand-mère, n’a pas été considérée avec plus d’égard, loin s’en faut. Prenant connaissance de ses papiers, le policier lui jette un regard glacial et lui demande texto : « Qu’est-ce que vous faites là ? » La vieille dame lui répond à voix basse, trop doucement à l’évidence. Il n’en faut pas plus pour que l’agent lui assène un « Hein ? » moribond, disgracieux, impoli à souhait, à l’image de sa personne. « Combien avez-vous d’argent ? », poursuit-il dans son interrogatoire verbalement musclé. La vieille dame répond encore faiblement et le policier demande à voir la monnaie. « Vous croyez peut-être que vous allez pouvoir vivre avec ça ici ? »
Nous sommes, mes confrères de la presse écrite, télévisée locales et moi-même qui revenons du Festival International Kreol de Maurice, étourdis par la scène.
Qui étaient les autres ce jour-là dans la file d’attente ? Des touristes ? Des voyageurs de retour de Maurice en halte à La Réunion ? Quelle image de l’accueil réunionnais auront-ils eu ? Le faux, c’est sûr. Rien à voir avec la chaleur de celui des Réunionnais.
Quel coup de main pour le tourisme local ! Alors que dans la zone, les politiques, quelles que soient leurs obédiences, font force pour prôner le co-développement, le resserrement des liens avec nos voisins géographique et historique, la France, par le biais de ses fonctionnaires, se pose en frein à cette ambition légitime et naturelle. De retour de Maurice ou l’accueil et la qualité du service font la renommée de la destination, cette scène offre l’image d’une Réunion qui se situe à l’opposée de sa soeur.
Oui La Réunion est française mais pas de cette France là, sécuritaire à l’excès, racialement sélective, politiquement méprisante à l’égard de l’étranger.

Stéphanie Longeras
estefani974@aim.com

mercredi 12 décembre 2007

Jacques de Chateauvieux, roi de l’immobilier à la Réunion


Il pilote CBo, société immobilière née du patrimoine foncier de l’ancien groupe Bourbon.
3 360 HECTARES de terres sur l’île de la Réunion ! C’est le patrimoine foncier de Bourbon, l’ancien groupe sucrier, dirigé depuis 1979 par Jacques de Chateauvieux. En 2004, le patron s’était séparé de ces activités pour les reconduire au sein de CBo Territoria, société immobilière introduite sur Alternext. Il annonce aujourd’hui une augmentation de capital de plus de 23 millions d’euros prévue le 29 décembre – la famille restant actionnaire à 20 %. Une opération qui permettra d’aménager les terrains constructibles. Des terrains situés sur les zones stratégiques du département, à proximité des nouveaux axes structurants : la route des Tamarins, voie express reliant le port à Saint-Pierre, livrée en 2009, et le projet Tram-train, entre La Mare et Saint-Paul. «Nous en avons pour cinquante ans de construction !, lance Jacques de Chateauvieux, qui préside le conseil de CBo. Nous avons un rôle d’aménagement régional», poursuit celui pour qui la Réunion est «une île de peuplement», non une colonie.
Né à la Réunion il y a 56 ans, Jacques de Chateauvieux avait quitté «(son) île» pour suivre sa scolarité secondaire en métropole. Diplômé de l’ISC et de Columbia, il fait ses armes au Boston Consulting group, avant de retourner en 1979 à la Réunion reprendre les rênes du groupe familial cofondé par son père. «Il fallait fermer des usines» , explique l’héritier. Lourde tâche, que les fondateurs n’ont pas eu le cœur de mener. «Le sucre à la Réunion, c’est comme la sidérurgie dans l’est de la France !» Il sera l’artisan de la mutation du conglomérat réunionnais. L’année 1989 sonne le début de la diversification en dehors du sucre, avec l’ouverture à la grande distribution, l’agroalimentaire et le maritime.
Entré en Bourse en 1998, le groupe se focalise à partir de 2001 sur les services maritimes offshore pétroliers. «Le titre a quintuplé depuis 2002» , observe le patron qui conclut à une «focalisation réussie» . Une transformation que ce fervent catholique aime comparer au passage de l’art roman l’art gothique. «Je suis un bâtisseur de cathédrales, lance-t-il. Mon rôle est de sécuriser le financement.» Père de six enfants, il se sent investi d’une double mission, économique et patriarcale.

Guadeloupe : Un nouveau label pour le tourisme


Le Comité du tourisme des îles de Guadeloupe (CTIG), la Région Guadeloupe et l’Etat vont créer un nouveau label permettant de distinguer les meilleurs professionnels du secteur du tourisme.

Cette marque nationale “Qualité tourisme” se met en place.Dans le prolongement des assises régionales du tourisme du 13 octobre 2006, l’Etat, la Région Guadeloupe et le Comité du tourisme se sont engagés dans la mise en œuvre d’une démarche régionale de qualité permettant l’attribution de la marque nationale.

Ce mardi 12 s’est tenu une réunion d’information relative à la mise en œuvre de la marque nationale “Qualité tourisme” en Guadeloupe. L’objectif était de mettre en place l’organisation de ce dispositif régional, les grilles de référence ainsi que le règlement d’usage de la marque.Le plan national “Qualité tourisme”, initié par le Secrétariat d’Etat chargé du Tourisme, a pour objectif d’améliorer la qualité de l’offre touristique, valoriser les produits de qualité et promouvoir la destination.

Ce plan comporte l’attribution d’une marque nationale de qualité autorisant les démarches professionnelles ou territoriales spécifiques dès lors qu’elles correspondent aux engagements nationaux de qualité traduits dans des référentiels établis par activités.

Nous vous rappelons que ce la bel Qualité Tourisme peut être demandé par l'ensemble des hôteliers et que l'Equipe de ServhotelGroup tient à votre disposition les référentiels d'audit et tous les documents nécessaires à l'obtention de ce label.

Ceci bien entendu gratuitement.!

lundi 10 décembre 2007

Poste Directeur de la Restauration à pourvoir



URGENT
HOTEL LA COHOBA
Ile de Marie-Galante (Guadeloupe)
Hôtel en pleine phase de rénovation et restructuration.
Recherche responsable restauration CDD 6 mois.
Salaire motivant, logé, nourri. Possibilité de CDI selon évolution.
Candidat de préférence avec une expérience des Antilles.
Poste à pourvoir immédiatement.
Ecrire à direction.cohoba@wanadoo.fr
Bien cordialement
L'équipe de Jobhotels

Un parc aquatique à la Possession

UN HOTEL D’AFFAIRES 3 OU 4 ÉTOILES (Georges Lazarre )

Tous les spécialistes s’accordent à dire que la destination Réunion souffre d’un déficit en terme d’hébergement. Déjà à la tête du Floralys (hébergement, séminaires, restauration), Carobeach projette de continuer à s’investir dans ce secteur. Ainsi, outre l’extension de cet établissement à 70-80 chambres, et l’étude pour l’implantation d’une hôtellerie d’étape dans l’Est, envisage l’implantation d’un hôtel d’affaires à la Zac Moulin Joli à la Possession.
Un établissement trois voire quatre étoiles de plusieurs dizaines de chambres qui viendra ainsi se greffer au parc aquatique “Océanys”. En tout cas, Lionel Caro a déjà engagé des contacts avec les professionnels de l’hôtellerie afin de définir exactement la topologie de l’établissement à réaliser, le nombre précis de chambres ainsi que la forme architecturale. L’hôtel d’affaires pourrait être opérationnel en 2011 ou 2012.

Lire la suite de l'article de Clicanoo ici

vendredi 7 décembre 2007

Des News de Nouvelle Calédonie et de l'hôtel Kou-Bugny


Avec un troisième avion et un hôtel flambant neuf, la société Air Calédonie et l’hôtel Kou-Bugny se sont donné la main, jeudi, pour inaugurer en fanfare ces nouveaux outils du développement touristique.

Le nouvel ATR 72, qui termine le renouvellement de la flotte d’Aircal, dénommé Papa Sierra en référence à la province Sud, avait, depuis son premier atterrissage sur l’île le 31 octobre dernier, effectué déjà moult atterrissages sur la grande piste de Kunié. Mais, jeudi, les soixante passagers qui ont pris les airs en fin de matinée étaient triés sur le volet pour assurer le vol inaugural de cet avion.Elus et membres de la compagnie aérienne étaient attendus sur le tarmac de l’aérodrome par les danseurs de la tribu de Touété, Wamô.

Les danseurs ont effectué leurs rondes devant un parterre de personnalités venues de Nouméa et les notables locaux.Puis, Elia Walewene, membre du conseil d’administration d’Aircal, a présenté les coutumes venues « avec ce bel oiseau synonyme de développement », avant que Louis Eschenbrenner, figure historique de la compagnie, salue « la vision qu’avait eue le grand chef Barthélemy Vendegou à la fin des années cinquante » et termine son hommage en suggérant que le nom du père de l’actuel grand chef soit donné à l’aérodrome de Moué.

À l’issue de ces cérémonies, la délégation s’est portée en direction de la baie de Kuto où l’hôtel Kou-Bugny inaugurait sa nouvelle extension.

À l’ombre des majestueux bugny, arbres plus que centenaires, le directeur général de l’hôtel, Yvar Petersen, a présidé aux cérémonies coutumières.

Porteur du projet depuis les premières heures de l’hôtel, Jacques Lafleur a partagé l’honneur de couper le ruban inaugural avec Gaël Yanno. Cet acte symbolique effectué, les danseurs d’Olobatr ont fait jaillir le sable blanc sous leurs pas.Avec un plus grand avion et encore des chambres supplémentaires, la destination île des Pins gagne encore plus de poids auprès des agences de voyages et des professionnels du tourisme.

Ce sont d’ailleurs eux qui ont clos cette inauguration puisque l’hôtel les a invités à passer une nuit pour bien connaître le produit.

L'hôtel La Cohoba de Marie Galante montre l'exemple


Premier hôtel des Antilles à s'inscrire dans une démarche Haute Qualité Environnementale, l'hôtel La Cohaba de Marie Galante et son Directeur Vincent Nicaudie, travaille d'arrache pied pour que cet établissement soit le véritable moteur du Tourisme de cette île.

Cette révolution, mutation profonde, passe bien entendu par une prise de conscience de l'importance de cette démarche par tous les Clients,Collaborateurs et Fournisseurs de cet Hôtel.

La Cohoba devra passer par de nombreux travaux et modifications pour atteindre la norme HQE. Coté énergie il s'agira d'installer des chauffe-eau solaires et d'étendre le solaire au maximum des fonctionnalités de l'hôtel. Des citernes seront également installées.Pour que l'éclairage soit le moins impactant possible pour le biotope,tout l'éclairage sera repensé avec des lampes à vapeur de sodium sous basse pression. La bande forestière entre l'hôtel et la plage sera revégétalisée et accueillera un parcours de santé et pédagogique.
Dans les chambres , une climatisation à la carte sera privilégiée, alors qu'un système de refroidissement naturel de l'air par des conduits souterrains, sera installé au restaurant et au bar.
Bref, un travail ou l'écologie et l'économie parlent d'une même voix. En choisissant de faire de La Cohoba un hôtel Vert, tourné vers une clientèle curieuse et soucieuse de l'écologie, le Directeur de l'hôtel pointe vers un marketing de niche.
Il s'agit de faire de la Cohoba un hôtel-pilote en le réhabilitant entièrement autour d'une démarche environnementale et patrimoniale.

Le montant total des travaux pour finaliser cet démarche HQE est estimé à 2.5millions d'Euros.


jeudi 6 décembre 2007

Bravo au Concorde Bellepierre de Saint denis de la Réunion


L’hôtel Concorde Bellepierre a remporté les Fourchettes d’Or ,décernées par le Club des Uniques qui depuis 1972 récompense chaque année les trois meilleures tables de l’île de la Réunion.
Dans un cadre privilégié et tout en profitant d'une vue panoramique exceptionnelle sur le littoral dyonisien, le restaurant Le Bellevue vous propose une cuisine traditionnelle raffinée à base de produit locaux de toute fraîcheur.


Réputé comme une des meilleures tables de St Denis et de l'Ile, c'est le rendez vous des hommes d'affaires le midi, des familles pour fêter un événement particulier et des amoureux de la cuisine le soir....


"Foie gras de canard au gingembre confit, compotée de pomme et poire à la vanille, gelée au thé earl grey" ou encore "Cannellonis de saint pierre et songe violet, riz parfumé au coco, sauce curry vert", c'est une explosion de saveurs que vous propose le Chef dans chacune de ses créations.
Le restaurant Hémisphère Sud de l’Aéroport Rolland Garros remporte les Fourchettes d’argent et le restaurant Entre vous et Nous celles de Bronze.Ces trois restaurants récompensés proposent une cuisine gastronomique mêlant saveurs réunionnaises et métropolitaines.

mercredi 5 décembre 2007

Bel exercice de langue française.(Juste pour se détendre un peu..)


Vachement bien la langue française !

"Myope comme une taupe", "Rusé comme un renard"?... les termes empruntés au monde animal sont partout.

La preuve: Que vous soyez fier comme un coq, fort comme un boeuf, têtu comme une mule, malin comme un singe, chaud lapin ou fine mouche, vous êtes tous, un jour ou l'autre, devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche.

Vous arrivez frais comme un gardon à votre premier rendez-vous et là, pas un chat! Vous faites le pied de grue, vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin. Le type qui vous a obtenu ce rancard, avec lequel vous êtes copain comme cochon, vous l'a certifié: « Cette poule a du chien, Une vraie panthère!"

C'est sûr, vous serez un crapaud mort d'amour. Mais tout de même, elle vous traite comme un chien, la vache! Vous êtes prêt à gueuler comme un putois, mais non, elle arrive. Bon, dix minutes de retard, il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Sauf que la fameuse souris, avec sa crinière de lion tombant sur son cou de girafe, est en fait plate comme une limande, myope comme une taupe et bête comme une oie, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine.

Vous restez muet comme une carpe. Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez, mais vous sautez du coq à l'âne et finissez par noyer le poisson. Vous avez le bourdon, envie de verser des larmes de crocodile.

Rusé comme un serpent, vous finissez par vous inventer une fièvre de cheval qui vous permet de filer comme un lièvre. Vous avez beau être doux comme un agneau, faut tout de même pas vous prendre pour un pigeon!