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mercredi 16 janvier 2008

La police déplore le manque de sécurité dans les bungalows


Certains logements loués aux touristes ne répondent pas aux normes de base de sécurité. Ils ne sont pas toujours enregistrés auprès de la «Tourism Authority», leur qualité laisse à désirer.
Les patrouilles de police le long des plages peuvent dissuader bien des agresseurs de touristes. Mais les habitations côtières roposées par le biais d’internet n’offrent déjà pas la sécurité de base nécessaire au séjour de paix que cherche le visiteur. Campements et appartements poussent comme des champignons dans les zones côtières, notamment à Flic-en-Flac et à Grand-Baie, au détriment, parfois, des normes de sécurité. C’est dans ces lieux que résident 75 % des touristes qui disent avoir été victimes d’agression ou de vols, confie un haut gradé de la police. Il détient un rapport sur ces délits.

Ces régions sont devenues, au fil des ans, la destination de choix des touristes hors hôtels ou tour-opérateurs. Le policier précise que ces bungalows et autres appartements ne sont pas faits pour héberger les touristes. Mais les propriétaires veulent arrondir leur fin de mois. Ils opèrent parfois au noir et vantent leur produit sur internet pour attirer une clientèle naïve qui veut faire des économies sur son budget vacances.

Mais avant toute réservation, ces touristes devraient s’assurer que ces hébergements ont un vigile, des caméras de surveillance, des antivols, des fermetures en bon état... et qu’ils sont enregistrés auprès de la Mauritius Tourism Promotion Authority (MTPA). Dans les logements non déclarés, même si le tarif proposé est bien moins cher qu’une chambre d’hôtel, le service laisse parfois à désirer.

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